presque 6 mois que taehyung et jungkook ont "rompus" , seulement ils vivent ensemble, travaille au même café et ont les mêmes amies.
"Ils sont comment dire...obligé de ce supporter, dure quand vous vous détester profondément.
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"Dear ex , fuck you. s.one
— raaah bordel de merde ! je grogne en fermant brusquement la porte d'entré.
il pleuvait étrangement beaucoup et j'avais évidemment oublié de prendre mon parapluie quand j'étais sortis contrarié suite à ma "discussion" avec un certain abruti cet après-midi, résultat me voilà trempé de la tête au pieds.
je soupire en entendant quelques bribes de son venant du salon et retire mes chaussures avant de mi diriger et d'y entrer.
— Eh ,Jungkook ?
Je ne fut même pas surpris de le découvrir endormi et étalé de tous son long sur le canapé comme pratiquement tout les soirs devant la télé , télé que je m'empresse d'éteindre.
— manquerai plus que la facture augmente à cause d'un cretin pareille.
je marmonne avant de lui lancer un regard.
c'est cheveux brun lui tombait sur le front tandis que c'est yeux clos lui donnait un air si calme et c'est lèvres , juste là, comme sa , devant moi et entre ouverte avait l'air si...douce.
Je ris intérieurement. c'est marrant, c'est si agréable quand il ce la ferme enfin celui-là.
sa me fait d'ailleurs penser, lui et moi on ne c'est jamais embrassé.
c'était qu'un simple plan cul alors j'étais pas vraiment pour mais la...il y'a quelques chose qui me démange , je devrais juste m'approcher un tout petit peu et...
— taehyung...
Mes yeux s'écarquillent et je me fige instantanément me rendant alors compte de la proximité de nos visages.
j'ai mal entendu ou il vient vraiment de prononcer mon nom ?
— taehyung...
— est-ce qu'il est vraiment en train...de rêver de moi ?
je chuchote presque tremblant et je n'ai même pas le temps de cligner des yeux qu'une grande mains se pose sur le haut de mon visage me repoussant brutalement jusque m'en faire tombé au sol.
— non mais dégage de la. qui t'a permis d'être aussi près !
je ne lui répond pas , je dois même paraître débile à voir en me contentant de me frotter la nuque.
