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(Crédit : o.reyyy sur Instagram🤍)Bonne lecture !
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Tou travaillais dans un bar à Sabaody, tu étais très occupée surtout maintenant car tout un tas de pirates avaient débarqué. Tu devais les servir rapidement. Tu vivais dans ce bar depuis 13 ans maintenant. Tu avais été capturé dans ton île natale par des explorateurs pour être vendu sur le marché des esclaves. Mais arrivé à Sabaody on t'as appris que tu étais trop jeune pour être vendu, à cet âge tu n'aurais pas servi à grande chose. Tu as donc vécu dans ce bar pour apprendre à cuisiner mais surtout faire le ménage, histoire de bien te préparer à ta future vie de sou-fifre.
Tu avais déjà essayé de t'échapper mais la propriétaire du bar, la patronne qui avait pour mission de te tenir captive, t'avait rattrapé et t'avais fais passer la pire nuit de ta vie, depuis tu n'y pense plus. Tu n'essaye plus. Tu espérais quand même qu'un jour tu pourrais être libre, que quelqu'un ou quelque chose viendrait te sauver.
Une seule chose te remontait le moral, tes livres. Tu avais des livres parlant de différentes îles, Grand Line, le Nouveau Monde, tu étais impressionné. Tu voulais tant voyager mais tu étais destiné à être esclave alors tu refoulais ce stupide rêve. Tu l'oubliais en travaillant d'arrache pied.
Aujourd'hui tu faisais ta routine comme d'habitude, tu lavais le bar de fonte en comble comme chaque matin. Les 11 supernovas avaient débarqués sur Sabaody alors tu t'imaginais bien que certains pouvaient faire un tour sur l'île, donc au bar.
-Ma belle ça te dirais de venir boire un coup avec nous ? dis un poivreau.
Tu faisais mine de ne pas l'avoir entendu.
-C'est malpoli d'ignorer quand quelqu'un te parle, grogna-t-il en se levant.
Il t'attrapa le bras.
-Lâchez-moi.
-Hehehehe
Il serrait sa prise sur ton bras, tu lui flanquais une énorme gifle de ton autre main ce qui le fis lâcher ton bras. Il se tenait la joue, tu lui mis alors un énorme coup de pied au visage qui l'envoya par terre.
La patronne était descendu en entendant le vacarme. Elle fut horrifié en voyant ce qu'il s'était passé, elle courra vers l'homme en question et l'aida à se relever, en s'excusant mille fois.
Elle se dirigea vers toi, prête à t'etriper.
-Sale pute ! Ne fais pas trop la maline ! cria-t-elle en levant la main, s'apprêtant à t'en coller une.
Une main retenu son poignet, sa main au dessus de la tienne. Tu vis un homme au sourire carnassier, d'une vive couleur de cheveux devant toi, retenir la patronne. Tu le regardais, étonnée.