(Nda : Je m'excuse d'avance envers toute les fan de Yaoi et de lemon mais sincèrement je ne me vois pas du tout en écrire mais j'espère que mes os vous plairont quand même. Dorénavant mes chères lectrices vous vous appellerez plus « TP » ou « Y/n » c'est horrible 😩 je donnerais un prénom au personnage)
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(Crédit : one.pieceiconss sur Instagram 🤍)
« 𝕹𝖊 𝖏𝖆𝖒𝖆𝖎𝖘 𝖓𝖊́𝖌𝖑𝖎𝖌𝖊́ 𝖚𝖓𝖊 𝖆̂𝖒𝖊 𝖆𝖒𝖔𝖚𝖗𝖊𝖚𝖘𝖊 »
[...]
Tu étais en quelque sorte la reine de Dressrosa. La femme du fameux roi Doflamingo.Vous vous êtes rencontrés alors que tes parents venaient d'être tués sous tes yeux et que lui était un dragon céleste déchu. Aussi fou que cela puisse paraître, tu l'aimais. Même s'il était avide pouvoir et dérangé, tu l'aimais. Tu restais accroché à lui car au fond de toi tu savais que tu n'avais nul part où aller.
Cependant, tu l'aimais mais lui le prétendais seulement. Pour te rassurer tu tenais fermement ton alliance et repense au jour de votre mariage, aux mots qu'il avait prononcé après avoir officialisé votre amour, à cette fabuleuse nuit que vous aviez passé sur une magnifique petite île céleste en guise de noces.
Ça te mangeait de l'intérieur de te dire que tu perdais ton mari et son amour un peu plus chaque jour, plus les jours passaient moins il te portait d'attention, il ne te regardait même plus, il t'évitait même. Tu en étais malade. À tel point que des fois tu passais des nuits entières seule dans votre lit conjugal, froid et vide, en pleurant à chaude larmes.
Mais cette nuit là était celle de trop, tu en avais marre d'être délaissée et abandonnée, tu étais bien résolue à sauver ton mariage.
[...]
Tu étais vêtu d'une robe moulante noir laissant apercevoir un beau décolleté, de belles cuissardes noirs.
Tu te dirigea de pied ferme vers son bureau, déterminé à sauver ton trésor et la seule chose qui te reste en ce monde, ton mariage.
Tu toqua à la porte d'entrée avec le coeur qui bat, puis tu entra.Il était tourné, debout, regardant par la fenêtre, seul le bruit de tes talons contre le sol résonnait dans la pièce. Il ne se retourna pas.
Tu arriva près de lui, tu l'enlaça par-derrière, tes bras autour de son ventre, ta poitrine collait son dos.
-Ume ?
-Oui.
-Je suis occupé, ne me dérange pas.
Tu te détacha de lui doucement, tu retourna dans ta chambre la tête baissée.Telle une enfant puni.
