un crime à Versailles

Samedi 6 Janvier 1660

Aujourd'hui Héloïse se prépare pour son rendez-vous avec Antoine.
Héloïse : Maman tu crois que j'ai fait d'inviter Antoine
Gisèle : Antoine ?
Héloïse : Le marquis de la chevalière si tu préfères.
Gisèle : Et vous allez où ?
Héloïse : Il a dit que cela serait une surprise.
Gisèle : Tu dois partir dans combien de temps ?
Héloïse : Dans 1 heure maintenant.
Gisèle : Alors pour que tu sois la plus belle à ce rendez-vous, je te propose cette robe là.

Héloïse : c'est ta robe préférer maman !
Gisèle : oui mais aujourd'hui je voudrais te là donner car elle ne me va plus et que maintenant s'est à toi aujourd'hui de trouver ton bonheur auprès d'un homme et d'avoir une famille.
Héloïse : Merci beaucoup maman.
Gisèle : Allez enfile-là et va à ton rendez-vous.

Héloïse mit sa robe et alla rejoindre Antoine. Quand elle arriva devant l'escalier pour descendre les marches elle vit Antoine en-bas qui l'attendait et elle se disait que ce rendez-vous pourrais peut-être déjà un premier pas vers une histoire d'amour qui sait.

Arriver en-bas des marches Antoine donna sa main à Héloïse pour l' aider à monter dans la calèche.
Et au bout de quelques minutes ils commencèrent à discuter.
Antoine : Vous êtes ravissante dans cette robe Héloïse.
Héloïse : Merci vous n'êtes pas mal non plus Antoine.

Héloïse : Alors où avez-vous décider de m'emmener ?
Antoine : Vous allez voir c'est pour moi le plus belle endroit de France mais comme je vous l'ai dit c'est une surprise.

Au bout de plusieurs heures de voyage, ils arrivèrent à l'endroit prévu par Antoine.

Héloïse fut émerveillé par là splendeur du lieu.
Héloïse : c'est un endroit d'une beauté extraordinaire.
Antoine : Je vous l'avez dis que c'était un endroit magnifique.
Héloïse : Je vous l'accorde et j'espère que votre compagnie me fera le plus grand bien.
Antoine : Cela va de soi sinon où vous en êtes sur le meurtre du Duc de Bourgogne, vous avez trouvé quelque chose récemment ?
Héloïse : Dans le meurtre, je pense qu'ils sont 2.
Antoine : Tu penses à qui ?
Héloïse : Vous me tutoyer maintenant ?
Antoine : je pense qu'à ce niveau là je peux me le permettre si tu me l'autorise.
Héloïse : Alors je t'autorise, sinon je pense que le marquis de Nantes est celui qui a pris le poignard.
Antoine : Alors pourquoi 2 ?
Héloïse : parce que le marquis de Nantes, d'une ne sait pas compter c'est le roi qui calcul c'est finance et de deux même si c'est lui qu'il l'a tué il ne l'aurait pas fait par amour pour la femme du Duc.
Antoine : Qu'aurait fait l'autre personne ?
Héloïse : L'autre personne comme tu le dis est celui qui a imaginé le plan pour tuer le Duc mais je devrais arrêter de parler de ça, sa vous ennuie.
Antoine : Non au contraire, te voir parler avec une tel intensité t'es réflexions sur un meurtre me font sourire.
Héloïse : Oui mais se n'est pas comme tous les rendez-vous galants.
Antoine : pourquoi dis-tu cela ?
Héloïse : Parce que toutes les filles d'aujourd'hui cherche absolument un mari pour avoir plus de territoire et plein d'argent et moi je....
Antoine : Toi quoi ?
Héloïse : Moi je suis une fille qui aime l'équitation, lire des livres et qui ne cherche pas à avoir plus d'argent, plus de territoire.
Antoine : Cela prouve que tu es différente des autres filles et s'est pas tous les jours qu'on rencontre une jeune femme aussi intelligente et cultivée.
Héloïse : Et tu trouves cela Charmant ?
Antoine : Bien sûr, je trouve qu'aujourd'hui les femmes pensent trop à leur beauté mais à cette instant précis je me sens bien avec à tes côtés.

Héloïse pleure et en là voyant Antoine la prend dans c'est bras pour la rassurer.
Antoine : Pourquoi tu pleures ?
Héloïse : je ne vais pas te mentir c'est la première fois que je me retrouve dans les bras d'un homme qui me rassure.
Antoine : Tu sais la première fois qu'on sait rencontrer, je ne sais pas ce que j'ai eu mais en te voyant, j'ai ressenti une attirance.
Héloïse : Une attirance mais regarde-moi je suis si laide, qui voudrai d'une femme comme moi !
Antoine : Héloïse, tu as un corps magnifique et tu es intelligente, cultivée et si une personne te fais du mal il aura à faire à moi tu m'entends.
Héloïse : Pourquoi tu fais ça pour moi ?
Antoine : Parce que je suis peut-être tombé amoureux de toi.
Héloïse : on se connaît que depuis 6 jours ?
Antoine : Très bien, tu sais que le roi organise une fête ?
Héloïse : Oui, en l'honneur de madame de Montespan.
Antoine : Eh bien je t'invite (avec un genoux à terre) mademoiselle Héloïse de Cardihac voulez-vous devenir ma cavalière pour ce soir ?
Héloïse : Avec grand plaisir monsieur Antoine de la chevalière.

Puis quelques heures plus tard, il repartir pour Versailles.
En arrivant Héloïse partir tout de suite voir sa mère, Gisèle.
Héloïse : Maman j'ai une grande nouvelle à t'annoncer.
Gisèle : Dis-moi ne me fais pas attendre plus longtemps !!!!!
Héloïse : Antoine de la chevalière m'a invité au bal du roi.
Gisèle : C'est incroyable, je suis sûr que se sera l'homme qu'il te faut.
Héloïse : Maman !!!
Octave : Et on aura beaucoup plus d'argent !!
Héloïse : Papa, ton importance à l'argent va tourner au cauchemar.

Et durant la soirée ils ne quittèrent pas et les parents d' Héloïse s'en rendre compte.
Gisèle : Tu as remarqué que depuis qu'elle est avec le marquis, je trouve ma fille.
Octave : Mais elle était déjà là ?
Gisèle : Ce que je veux dire c'est qu'elle est plus radieuse.
Octave : c'est vrai, je ne le dit pas souvent mais je suis fier d'elle.
Gisèle : Moi aussi.

Le bal dira jusqu'à très tard et allant se coucher Antoine se disa :
"Héloïse, très jolie prénom il faudra que j'écris une lettre à mère, je crois que j'ai enfin trouvé la femme de ma vie".