Mardi 2 Janvier 1660

18 1 0
                                    

Le lendemain matin la famille d'Héloïse se réveilla et avec sa mère, Gisèle elles décidèrent d'aller se balader dans les jardins de Versailles, pour prendre l'air après les émotions de la veilles.
Gisèle : Alors tu as trouvé des preuves sur la mort du duc de Bourgogne ?
Héloïse :  j'ai déjà les témoignages de Lisa, la servante qui à découvert le corps et Maria la duchesse de Bourgogne, femme du défunt et là il faut que je trouve la comtesse de Soisson.
Gisèle : Ce n'est pas celle qui est là assise sur le banc entrain de lire ?
Héloïse : Merci maman.

Mais en allant voir la comtesse de Soisson, le Marquis de la chevalière arriva au même moment.

Marquis de la chevalière :  Où allez-vous comme çà mademoiselle de Cardihac ?
Héloïse : je vais rendre visite à la comtesse de Soisson.
Marquis de la chevalière :  je vous accompagne, une jeune femme traînant seul dans les jardins de Versailles ce n'est pas très prudent.
Héloïse : si cela vous chante.

Le marquis donna son bras à Héloïse et tous deux se dirigèrent vers la comtesse de Soisson.

Comtesse de Soisson : Vous avez trouvé chaussure à votre pied monsieur le marquis ?
Marquis de la chevalière : Pas cette fois-ci madame la comtesse, je vous présente mademoiselle de Cardihac qui enquête sur la mort de ce très chère Duc de Bourgogne.
Comtesse de Soisson :  C'est vous dont tous le monde parle à la cour.
Héloïse : Oui, c'est et je voudrais vous posez des questions à ce sujet.
Comtesse de Soisson : Que voulez-vous que je vous dise, que cette horrible personnage est un goujat, c'est ridicule de venir me voir.
Héloïse : Pourquoi dites-vous que c'est un goujat?
Comtesse de Soisson : il faut savoir que lorsque madame la Duchesse est en Bourgogne, il prétexte des déplacements d'affaires pour venir me voir.
Héloïse : Mais.... Dites-moi, où étiez-vous le 31 Décembre à 00h04 ?
Comtesse de Soisson : je suis sortie des appartements du Duc.
Héloïse : Que faisiez-vous dans ses appartements ?
Comtesse de Soisson : je venais le voir pour lui rappeler des souvenirs mais au dernier moment il a refusé soi-disant que depuis, il avait réfléchi et qu'il voulait tous arrêter car il a compris qu'il aimait sa femme.
Héloïse : Merci beaucoup, madame la comtesse. (au marquis de la chevalière) Ce que tu as entendu tu le garde pour toi, compris.
Marquis de la chevalière : Oui, mademoiselle, mais il a une question que je me pose.
Héloïse : là quel ?
Marquis de la chevalière : quel est votre prénom ?
Héloïse : Eh bien si vous me dites le votre.... Vous aurez peut-être le mien.
Marquis de la chevalière :  Antoine de la chevalière et vous ?

Mais Héloïse partant pour le bureau du roi laissa, Antoine de la chevalière seul au beau milieu des jardins de Versailles.

Pendant ce temps-là dans le bureau sa majesté, Héloïse raconta c'est doute au sujet du témoignage de la comtesse.
Héloïse : il y a quelques choses que je ne comprends pas, hier j'ai trouvé un couteau et la lame mesurait 4 centimètres.
Louis XIV : Pourquoi vous ne me l'avez pas dit ?
Héloïse : j'attendais juste le témoignage de la comtesse, pour confirmer une intuition.
Louis XIV : Eh alors ?
Héloïse : je pense que la comtesse est dans le coup votre altesse mais même si elle est intelligente, j'ai su qu'au premier regard qu'elle ne savait pas manier une lame de 4 centimètres, elle a les doigts trop fins et elle ne supporte pas d'être tachée donc je pense qu'elle a demandé à une personne de la cour, qui premièrement n'aime pas le Duc et deuxièmement qui est amoureux de la duchesse.
Louis XIV :  Et vous penser à qui ?
Héloïse : Au marquis de Nantes.
Louis XIV : Pourquoi ?
Héloïse : À la cour, tous les gens le savent que le marquis est amoureux de la duchesse.
Louis XIV : Est-ce que c'est tous ce que vous avez à me dire?
Héloïse : Oui votre altesse, Bonne journée.

En sortant du bureau du roi Héloïse aperçoit Antoine qui l'attendait.
Héloïse : vous avez attendu la fin de ma conversation avec le roi pour venir me voir inpressionnant.
Antoine : Oui, je suis venu vous voir pour continuer la conversation que nous avons commencé dans les jardins de Versailles et maintenant que je vous ai donné mon prénom à vous de me dire le vôtre ?
Héloïse : Très bien vous avez gagné, je m'appelle Héloïse de Cardihac.
Antoine : Très beau prénom, si je peux me le permettre puis-je vous inviter à prendre un verre dans mes appartements ?
Héloïse : Désolé, mais-ci pour me faire pardonner je vous invitai à passer la journée avec moi au bord d'une rivière dans mon domaine.
Antoine : Quand ?
Héloïse : Disons dans 4 jours à compter de demain sinon se sera le samedi 6 janvier 1660.
Antoine : Cela me va alors Bonne Nuit Héloïse.
Héloïse : Bonne Nuit Antoine.


un crime à Versailles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant