Dimanche 19 Mai 1660

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C'est le grand jour pour Antoine car pour la première fois depuis deux, ils vont se retrouver.

Antoine : Mère, il faut que je vous parle d'une chose très importante pour moi.
Adélaïde : Je t'écoute.
Antoine : Voilà mère, comme vous l'avez dit j'aime Héloïse jusqu'à en mourir et je ne veux pas la perdre, c'est pourquoi, lors de ma fête d'anniversaire, je voudrais demander sa main à s'est parents, le Duc et la Duchesse de Cardihac mais pour que ce mariage à lieu il me faut votre approbation mère.
Adélaïde : Une question mon fils, avez-vous bien réfléchit avant de prendre cette décision importante ?
Antoine : Oui, mère, jour et nuit.
Adélaïde : Alors vous avez mon accord mon fils.

De son côté Héloïse ne savait pas quelle robe choisir alors elle demanda à Maria, Duchesse de Bourgogne.

Héloïse : Ma chère amie, je sais pas quelles robes choisir pour le bal.
Maria : Eh bien celle qui te plaît le plus.
Héloïse : Impossible, elles me plaisent tous.

Maria chercha dans ses affaires et trouva une robe qui appartenait à sa grand-mère.
Maria: celle-là ?

Héloïse : Elle est incroyable, Maria

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Héloïse : Elle est incroyable, Maria.
Maria: Je sais, elle appartenait à ma grande-mère mais aujourd'hui elle est à toi.
Héloïse : Maria, c'est très gentil mais si c'était à ta grand-mère alors tu dois là garder pour ne pas l'oublier.
Maria: j'en ai conscience mais tu veux plaire à Antoine ?
Héloïse : Absolument !!!!
Maria: Alors tu dois l'a mettre ?
Héloïse : D'accord, tu as gagné jee vais là mettre.

La fête avait commencé, Antoine fixa la porte d'entrée pour ne pas là rater.

Adélaïde : Arrête de fixer la porte tu vas avoir mal à la tête à force.
Antoine : Je sais mais j'ai peur de la rater.
Adélaïde : Ne t'en fais pas, tu entendra le valet dire son nom.

La famille d'Héloïse est arrivée, le valet a signalé sa présence, quand Antoine vit Héloïse, il la trouva resplendissante, il s'empressa de lui demander la première danse.

Antoine : Madame, voulez-vous bien m'accorder cette première danse ?
Héloïse (rire) : Avec plaisir, marquis.

Et ils commencèrent à danser tous les deux, la foule, les regarda avec des yeux attendrissant, puis petit à petit les gens se joingnière à eux.

Adélaïde : Votre fille est ravissante ce soir ?
Octave et Gisèle : Merci
Adélaïde : Dites-moi, je voudrais savoir madame la duchesse si votre fille est amoureuse de mon fils ?
Gisèle : Oui, pourquoi ?
Adélaïde : Ne le répéter à personne mais mon fils à décider de demander Héloïse en mariage.
Octave : Comment !!!!
Gisèle : Chute !!!! Tais-toi Octave.
Octave : Je n'arrive pas à y croire, notre fille va devenir une femme et dans quelques années une mère, Ooooooh, je vais m'évanouir.
Gisèle : Je sais Octave pour moi-aussi, c'est un choc mais c'est son destin, alors maintenant il faut qu'elle vive sa vie.
Adélaïde : Je suis d'accord avec vous sur ce point duchesse.
Gisèle : Madame, appeler-moi Gisèle.
Adélaïde : Alors appeler-moi Adélaïde.

Pendant que les parents se remette de leurs émotions sur ce qu'ils viennent d'apprendre, c'est au tour d'Héloïse de Succomber à l'émotion.

Héloïse : Antoine, pourquoi arrêtés-tu de danser ?
Antoine : Parce que j'ai une chose à te demander : Héloïse veux-tu faire de moi l'homme le plus heureux du monde en acceptant de m'épouser ?

Héloïse était prise par l'émotion et ne pur dire que:
Héloïse : Oui.

Antoine était le plus heureux du monde, Héloïse à dit oui, et dans quelques mois il seront devant dieu mari et femme.

Fin

un crime à Versailles Où les histoires vivent. Découvrez maintenant