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Kenza en média.

Bonne lecture .

1 semaine plutard.

Je vis maintenant avec  Émile ça fait une semaine
Et la colocation se passe super bien  c'était vraiment dure pour moi  de l'enlever à c'est parent mais il doivent comprendre que leurs fille n'est pas un objet  ,  elle prépare son année prochaine elle vas au lycée .

Émilie : regarde  ma tenue .

Moi: tu es magnifique ma chérie .

Émilie : how tu sais Miriam tu vas grave me manqué quand tu vas repartir au cameroon .

Moi : j' attend un appel pour savoir si j'ai eu mon bac et que j'ai été sélectionnés par mon école pour  aller continuer mais étude à l'étranger c'est pas pour autant qu'on ne se  verras plus , on seras toujours en contact grâce à se  que je vais te donner.

Émilie: merci beaucoup je te remercirais jamais assez pour tous se que tu fais pour moi toi et ton oncle .

Moi: Émilie j'ai été dans la mm situation que toi je sais c'est quoi quand on pense que plus que tu es une fille tu serais juste bonne à marier et tous et tous et que tu n'auras pas d'avenir dans le monde eu travail que t'envoyer à l'école est considéré comme une dépenses inutile .

Émilie: oui c'est vraiment pas possible que les gens réduise le fille et les femmes juste en objet sexuel ou encore en ménagère .

Moi: Émilie c'est ça la société de nos jour au village sa passe encore mais en ville c'est pire , je te l'assure surtout quand en viens des quartier populaire, et j'on connais un rayon .

Émilie:  ha ouais ça c'est vrai .

Moi: Émilie tu dois me promettre de ne jamais te laisser écrasés manipuler dénigrer ou encore te laisser dictée ta vie pas quelqu'un tu es la seul à pouvoir décidé pour toi et ton destin c'est un truc qui ma été appris par mon oncle et ma mère .

Émilie je te le promets Miriam , tu es l'une des meilleures choses qui mais jamais arrivé.

Toc toc.

Moi : oui

-c'est awa Miriam vient m'ouvrir.

Émilie: je devrais pas allez me planqué.

Moi: non t'inquiète.

Moi : awa entre .

Awa: bonjour à tous , Émilie ne te cache pas de moi.

Émilie: s'il te plaît awa ne dit à personne que je suis ici je t'en supplie.

Moi: non t'inquiète awa est au courant de tous ,c'est même elle qui m'avais proposé que tu viennes vivre avec moi.

Émilie: merci *en prenant awa dans ces bras* merci beaucoup cousine , je croyais pas que tu me comprendrais .

Awa: tu sais Émilie , je suis ta cousine tu aurais du me le dire moi je n'étais pas au courant de tous à part  peut être que si je l'avais su moi et mon père en aurais pu t'aider et essayer de convaincre mon père.

Émilie :  j'ai essayé mais tu connais mon père il avait décidé de me marié à l'homme le plus riche du village il avait commencé les préparatifs je n'aurais pas pu , en plus tante  fatou  avait déjà essayé de le  convaincre mais rien.

Awa: j'ai vue que tu avais brûler tes habits c'était vraiment obligé.

Moi: madame la fait pas pur plaisir.

Émilie: tu ne sais pas la libération que j'ai ressenti en fesant sa pour vous c'est absurde mais pour moi c'est vraiment un grand geste , tu imagine avant je n'avais même pas le droit de porté un pantalon.

Awa: voilà une des raisons pour laquelle je viens ici que pendant les vacances et juste assez pour reprendre contact  avec mes racines .

Moi: ha ouais .

Je vaudrais m'excuser pour les fautes, j'espère que ce court chapitre vous à plus , votez commentée partagez.

LES CHRONIQUES DE MIRIAM : AMOUREUSE DE CE PUTAIN DE RACISTE               Où les histoires vivent. Découvrez maintenant