Hana Yori Dango : Après la souffrance, le bonheur arrive à grands pas

Chapitre 36 : Déclaration d'amour

Le temps avait passé, Tsukushi et Rui s'étaient beaucoup rapprochés depuis le Canada. Ils avaient cicatrisé leurs blessures au cœur en s'aidant mutuellement. Ils avaient compris tous les deux que ce n'était que de l'adoration qu'ils avaient ressenti envers Shizuka et Stéphane. Yomogi sortait toujours avec Tsukasa et elle attendait même un enfant de lui. Yomogi était allée vivre chez Tsukasa. Quant à Tsukushi, elle vivait seule chez elle. Un soir, Rui passait la soirée chez Tsukushi...
Rui : Tsukushi ?
Tsukushi : Oui Rui Hanazawa ?
Rui : N'est-il pas fatiguant que tu m'appelles par mon prénom et mon nom à chaque fois ? Appelle-moi Rui !
Tsukushi : ... Rui !
Rui : C'est mieux !
Tsukushi : Tu voulais dire quelque chose ?
Rui : Je voudrais savoir si tu m'aimes...
Tsukushi : ...
Rui : Je suis sérieux, Tsukushi. Cela va faire un bon moment que j'attendais pour pouvoir t'en parler... Tu étais tellement attachée à Stéphane...
Tsukushi : Mais toi aussi...
Rui : Non, je ne suis pas si attaché à Shizuka mais à toi si ! Tu as toujours été là... Tsukushi, je t'aime et cela va faire un bon moment que je suis amoureux de toi !
Tsukushi : ... Rui, tu te trompes... Je ne suis plus tellement attachée à Stéphane... Je ne le rayerai jamais de ma vie comme toi pour Shizuka mais mon cœur n'est plus avec lui... Finalement la personne que j'aime n'est pas celui que je croyais... Je t'aime, moi aussi Rui...

Rui n'en revenait pas : Tsukushi l'aimait aussi ! La jeune fille se rapprocha de lui et déposa ses lèvres sur les siennes pour un baiser fougueux. Rui prit son temps pour la dévêtir et vice versa tout en s'embrassant : C'était le point de non retour. Le jeune homme se positionna entre ses jambes, lui écarta les cuisses et la pénétra d'un profond coup de reins. La jeune fille poussa un cri aigu tandis que le plaisir s'évanouissait d'un coup pour céder la place à une douleur lancinante.
Rui dans un souffle : Tu... Tu étais vierge ?
Tsukushi : Et... Alors ? Il ne s'était jamais rien passé avec Stéphane...
Rui : Moi non plus, il ne s'était jamais rien passé avec Shizuka...
Tsukushi : Aime-moi Rui !

Il entreprit à faire un va et vient lentement puis il lui assena ses coups de reins de plus en plus vite, le rythme allant crescendo. Juste comme la jouissance la submergeait, il sentit exploser son propre plaisir. Il était trop tard pour se retirer, sa semence jaillissait déjà. Rui était heureux comme Tsukushi. Un an plus tard, Tsukushi attendait des jumeaux. Rui en était si heureux.