Plus Qu'un SexFriend ? [KatsuDeku]

VII

Bonjour, bonsoir !

Je ne sais pas par quel miracle cette histoire fonctionne (peut-être grâce aux scènes de cul) mais ça me fait plaisir de voir que je n'écris pas pour rien ! (Pour une fois...)

Bonne lecture ! ^^

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PDV Izuku

Je sors discrètement de la pièce de la luxure avant de prendre l'ascenseur pour revenir dans ma chambre. Sérieusement... combien ce lycée a-t-il dépensé pour un ascenseur dans un dortoir ? Les portes de cette machine, probablement plus chère que toute ma collection d'All Might, s'ouvre pour que je puisse me trouver face à une Ochako croisant les bras dans une grimace accusatrice.

Ochako : - Eh bien je vois que tu perds pas de temps, sans même avoir l'obligeance de m'en parler.

Izuku : - Hein ? Mais... euh... de quoi tu parles ?

Ochako : - Fait pas l'innocent avec moi. Tu sais très bien de quoi je veux parler.

Ah ! Oui. Effectivement. Attends ! Comment a-t-elle su d'abord ?!

Ochako : - J'ai su car je te cherchais et pas besoin d'aller plus loin que le deuxième étage pour entendre vos gémissements de gros porcs.

Sa mine énervée se transforme pour laisser place à son air peiné.

Ochako : - Je pensais que j'étais une vraie amie pour toi... qu'on pouvait tout se dire... Mais je me suis probablement trompée après tout...

Ne pouvant retenir ses larmes, elle détourne son visage pour ne pas me tenir face.

Ochako : - Peut-être qu'au fond, on peut pas me faire confiance...

Sa voix déraille à multiple reprises mais elle essaie quand même de rester compréhensible. Moi, je reste là comme un con, la bouche légèrement entrouverte.

Ochako : - Désolée... Je suis vraiment pitoyable...

Sur ces dernières paroles, elle s'en va en direction des escaliers, arborant une marche rapide, les doigts encrés dans la peau de ses avant-bras, en arrachant presque. Je n'ai même pas bougé d'un pouce ou fait la moindre tentative pour la rattraper. Je me sens juste perdu par la scène qui vient de se dérouler. Les portes de l'ascenseur se sont refermées avant même que je m'en rende compte. Quelqu'un a actionné le bouton pour appeler cette chose hors de prix et moi, toujours aussi pensif, a complètement oublié d'en sortir ! Quel boulet ! J'appuie comme un demeuré sur le bouton de mon étage mais rien n'y fait. Cette foutue machine ne comprend pas la gravité de la situation ! Je tombe alors sur Kirishima-kun et Kaminari-kun.

Eijiro : - Midoriya ? Tu n'étais pas avec nous ?

Izuku : - Quoi ? Je veux dire... non ! Enfin j'aurai voulu mais...

Denki : - Encore les devoirs ? M'en parle pas... le nombre qu'ils nous en mettent cette semaine. Je sais pas si je vais réussir à tout faire.

Eijiro : - Parce que tu fais tes devoirs toi ?

Denki : - Bien sûr ! Mais c'est eux qui demandent trop de choses compliquées.

Eijiro : - Tu veux que je te donne des cours ?

Denki : - Ça dépend... quel genre de cours ?~

Eijiro : - Bah... je peux te donner des cours de japonais, de sciences ou de sport.

Denki : - Les cours de sport me tentent bien.~

Eijiro : - Ah oui ?! Et quoi comme sport ?

Denki : - Un lit, toi, moi, une capote et un p-