The first lover lost //with Sulivan TOME 2.

Chapitre 5

Vendredi septembre// 7 heures 21.

mon téléphone sonne. heureusement que ce soir c'est le week-end. je sors de mon lit à contre coeur et me diriges vers ma salle de bain. j'attrape un short en jean noir avec un corset noir bustier et je files sous la douche.

je termines de me sécher les cheveux et descends me faire mon petit-déjeuner pour pouvoir l'emporter avec moi. je mets mes nike air force one. je regardes ma montre, elle indique 7 heures 39. je remontes dans ma chambre prendre une veste en jean de la même couleur que mon short ainsi que mon sac. oh putain. mes écouteurs. j'allais partir sans, sale folle.

je sors de ma maison, Alex m'attend devant sa voiture.

-bonjour babe, dit mon copain en venant me prendre dans ses bras.

je lui répond par un sourire puis je monte dans sa voiture.

-tu as bien dormis ?

-mouais, je suis presser d'être en week-end.

-tu veux passer le week-end à la maison ?

-tu veux ?

-Gwenny si je te le demande c'est que j'en ai envie.

-logique, je suis bête. c'est d'accord.

nous arrivons au lycée. j'embrasse Alex et je pars rejoindre Gloria au casiers.

-salut toi.

-salut, ça va ?

-oui ça va et toi ?

-ça va, tu es venu avec Alex ?

-oui.

-ça va mieux du coup ?

-oui, on passe le week-end ensemble.

-préservatifs les enfants.

-oh toute suite, dis-je à mon amie en lui donnant un coup de coude.

je referme mon casier quand Clara se précipite vers nous.

-les filles! venez voir.

elle repart en sens inverse, j'imagine qu'on doit la suivre.

arriver sur place, je vois une énorme foule former en cercle. qu'est-ce qui se passe ? j'essaie de me rapprocher mais tout le monde se pousse. bordel.

-Clara, il se passe quoi ?

-c'est deux élèves qui se battent.

-mais il n'est que 8 heures du matin, où ils trouvent la force pour se battre aussi tôt argh.

j'arrive à me faire un petit passage entre les élèves et vois les lycéens se battre. c'est deux garçons. et merde Sulivan.

il est sur un élève, à lui asséner des coup de poings plus violent les un que les autres. mais qu'est-ce qu'il lui prend ?

-Sulivan arrête!

il s'arrête et me regarde. ses yeux sont rouges. on dirait qu'il va pleurer. il cesse tout mouvements. je m'approche d'eux et aide le garçon qui est par terre.

-franchement qu'est-ce qui ne vas pas chez toi.

je soulève le garçon et le traîne jusqu'à l'infirmerie. le pauvre, à peine il arrive, qu'on le frappe.

je frappe à la porte, personne ne réponds. merde. c'est urgent. j'ouvre la porte et l'allonge sur le lit qui est dans la deuxième pièce. je prend de quoi le soigner et m'assoie à côté de lui.