XLVII

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Mounass en multimédia

☘☘ Dans le passé ☘☘

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*** TIGUIDA ****

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..... Plus tard à l'hôpital .........

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Pour voir mon père, la vérité était que je n'avais pas tellement pitié de lui j'y étais parce que mon mari me l'avait demandé,  plus fort que moi n'arrivant pas à le voir autrement qu'un monstre réincarné car on savait que tant qu'il vivrait il chercherait toujours à nous nuire s'il n'arrive pas à nous contrôler , le genre de père toxique et borné .

Trouvant sa femme qui me regardait bizarrement comme toujours faisant quand même le plus grand de ses sourires hypocrite à mon mari

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Papa: Abdel Jalîl qu'est ce que tu as décidé pour ma fille , tu ne m'as rien dit depuis la dernière fois

Abdel Jalîl: Tonton maintenant que c'est ma femme vous n'avez pas à vous inquiéter pour ça

Papa: Oui mais je dois m'assurer que tu tiennes ta promesse, le mariage à distance chez nous est inacceptable. Le fait que tu viennes souvent pour repartir n'est pas suffisant

Abdel Jalîl: Je vous comprend parfaitement bien mais vous savez que je respecte toujours mes engagements .

Papa: Quand ?

Domani: Sangaré ne lui met pas la pression toi aussi , c'est ton fils non

Papa: Il faut que je saches

Abdel Jalîl: Tonton avec tout le respect que je vous dois , mon programme avec ma femme c'est nous que ça regarde du moment qu'elle n'est pas venue se plaindre chez vous je ne vois aucun  problème.

Papa : Mais en tant que père

Abdel Jalîl : Vous aurez beau être son père, c'est moi son mari et vous savez ce que ça signifie

Papa: Hummmm

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Souriant intérieurement , caressant discrètement la main de mon mari devant voyager la semaine dans la semaine suivante

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Domani: Étant son mari il a le plein de droit sur elle et le seul d'ailleurs

Papa : (frustré) Tiguida qu'est ce que tu veux faire comme étude supérieur, tu ne me dis jamais rien

Moi: On en parlera plus tard

Papa: Pourquoi pas maintenant

Moi: Parce que j'en ai pas envie

Domani: Peut être que c'est à cause de moi

Papa: Tu es ......

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Mon mari coupant court se levant avec moi

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Abdel Jalîl: On était juste passé voir comment vous allez

Domani: Vous partez déjà , même un jus tu n'as pas pris mon beau

Abdel Jalîl: Non merci , il faut qu'on parte

Papa: Des choses à régler ?

Abdel Jalîl: C'est ça , avant que je n'oublie qu'en est de vos examens ?

Naïve ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant