Naïve ?

LVI

🌻🌻🌻 De nos jours 🌻🌻🌻

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.... Le surlendemain ............

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**** SAFI SOW *****

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Très tôt le matin, les frères de Sangaré sont arrivés avec Ibrahim Sory et certains de ses amis journalistes son chef y compris et pas seulement de la radio privée pour laquelle il travaille en plus de certains cousins pour le religieux .

On a fait certains achats, Mafila et Ténin sont partis avec Idiatou pour sa valise afin qu'elle choisisse ce qu'elle veut .

Balia, Kalsoum et moi de notre côté pour la nôtre ayant décidé de faire le reste lors du civil .

Ibrahim Sory a décidé que ma fille doit être emmener chez sa mère ayant déménagé avec ses frères dans la concession que son père avait commencer à construire terminer par lui , une jolie villa. Bref, vivant ailleurs , il dit venir la chercher après le travail disant vivre avec elle jusqu'au moment de son départ ensuite elle ira vivre avec Balia .

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Kalsoum : Safi si tu as finis viens, on attend que toi

Moi: Je veux que ça soit toi qui le fasse

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Le rituel de la mère de la mariée afin de lui porter bonheur et abondance, une manière à ce qu'elle l'imite à ne jamais quitter son foyer et mon état d'âme ne le permet plus songeant à me séparer de Sangaré .

Dans les alentours de dix heures et demi  après le religieux, on passa au coutumier selon la tradition Peulh

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Kalsoum : Moi mais c'est toi sa mère

Moi: Tu l'es aussi et tu as eus plus de chance que moi, je préfère qu'elle suive tes traces

Kalsoum : (sourire) D'accord mais vient quand même

Moi: Oui 

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... Une demi heure plus tard ......

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Au moment de partir, au dos de Mohamed , le jeune frère de son mari , elle se mit à pleurer tout comme nous, Madame Diallo, Fofana, Kalsoum, Balia, Niama ma mère et moi plus fort que nous

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Niama : (en larmes) Soit heureuse petite soeur et soit une bonne épouse pour ton mari.

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Deux des amis de Ibrahim Sory nous approchant en sourire

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- Ne vous inquiéter pas, elle est entre de bonnes mains

- On en prendra bien soin Mama

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Au moment de partir , Sadou qui l'était déjà devant aussi aller travailler

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Ibrahim Sory : (sourire) Je dois partir