Chapitre 12

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Diego F, ma donner une mission qui consiste à aller en Italie et empêcher un possible coup d'état contre Francisco Marcelino qui va prendre la place de son père au pourvoir.

Dès mon arrivée en Italie, Francesco m'accueille chaleureusement comme si on était des amis de longue date, un peu d'affection ne me fera pas de mal.

Francesco :"Quindi, sei tu il piccolo che dovrebbe essere la mia guardia del corpo? Sei carino, lo sai?" (Alors, êtes-vous la petite qui devrait être mon garde du corps? Tu es mignonne, tu sais?)

En disant ça, il ce fend d'un sourire et me tapote la tête comme si j'étais un petit chiot.

Ophélie :"Ehi, non sono un cagnolino!" (Hé ! Je ne suis pas un petit chien)

Francesco :"Lo so, lo so, mi scusi, ma sei così carino" (Je sais, je sais, mais tu est tellement mignonne)

Avant d'arriver, en Italie j'ai lu le rapport que Diego m'avait fait, j'y est appris que Francesco était très apprécié ici, surtout auprès des filles, ce qui ce comprend vu comment il est, pas besoin de détails, yeux verts et corps de rêve. Mais son côté coureur de jupons, et narcissique est très agaçant, en plus il ce permet de me traiter comme une petite fille de 6 ans, j'en est 15 imbécile.

Il  m'emmène à son luxueux hôtel, attention ce n'est pas là où il vit, c'est l'une de ces nombreuses propriétés, cette hôtel est réservé à des personnes haut classés ou simplement ceux qui en ont les moyens, je ne me sens pas du tout à l'aise dans cette hôtel pour riche.

Francesco :"Qu'est ce que tu regarde ? Ça ne te plaît pas ?"

Sans m'en rendre compte mon visage, exprimé une expression de dégoût ou de déception.

Ophélie :"Ah, si, si, mais..."

Angelica: "Francesco, Che stai facendo ?" (Que fait tu ?)

Avant même que je finisse ma phrase, 2 bimbos c'étaient accrocher, chacune, sur un bras de Francesco. Après, l'avoir complimenter, et supllier avec insistance pour qu'il sorte (quelque part) avec elles, elles  se rendirent enfin compte de mon existence et mon dévisager comme si j'étais un extraterrestre. J'ai pris mes valises sans me retourner, et je suis partie à l'accueil pour qu'on me donne les clé de ma chambre.

Francesco :"Ophélia, Attendere!" (Ophélia attendez !)

Ophélie :*en marmonant * "déjà prononcé bien mon prénom et peut être que je me retournerai pour le moment reste avec les pestes entièrement refaite là et laisse moi tranquille"

Bien sur ils n'ont pas entendu ça, ils étaient trop loin et puis les filles le tirent de force vers la sortie, mais ça a pas l'air de le déranger plus que ça finalement.

Je pris les clé, et quelqu'un me conduis à ma chambre.

En voyant "ma chambre" je suis sidéré, bouche bée, c'est pas une  chambre ça ! C'est une putain de suite ! C'est limite une maison ! Ça fait la taille de mon appartement ! C'est vraiment ma chambre ça ?
L'employé qui m'a accompagné, ma laisser planter là.

Antonio:"Bouh !"

Ophélie :*en criant *"Aaaah!"

surprise je me tourne de panique et je et je vis un garçon se tordre de rire derrière moi.

Antonio :*en riant *"Ti ho spaventato? Non sembri essere di qui, come ti chiami?" (Je t'ai fait peur? Vous ne semblez pas être d'ici, quel est votre nom?)

Ophélie :* en criant * "Ma non sta andando! Sei malato! Mi hai spaventato! Chi sei ?" (Mais ça ne va pas! Tu es malade! Tu m'as fait peur! Qui êtes vous ?)

Mon destin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant