❤︎︎𝕌𝔾𝕃𝕐 𝕃𝕆̷𝕍𝔼❤︎︎✔︎

¡On s'appartient !

🎧: - [ ] August D : dear friend

"Chacun cherche sa moitié"

JUNGKOØK

SIX ANS PLUS TØT

Je lui caresse le dos pour la rassurer.
–Encore deux minutes. Elle Acquiesce de la tête mais garde le visage caché dans ses mains.
Elle ne veut pas regarder.
Je ne lui dit pas que nous n'avons en fait pas besoin de ces deux minutes. Je ne lui dit pas que les résultats sont arrivés, clair comme le jour.
Je ne dis pas à Mélissa qu'elle est enceinte, parce qu'il lui reste au moins ces deux minutes d'espoir .
Je continue à lui caresser le dos. Le temps s'écoule et elle ne bouge toujours pas. Elle ne se redresse pas pour regarder les résultats. J'approche la bouche de son oreille.

–Désolé, Mélissa.
Elles fond en larmes.
Mon cœur se brise.
C'est ma faute. Tout est ma faute.
Je n'ai plus qu'à réfléchir à la solution.
Je la tourne vers moi, l'enveloppe de mes bras.

–Je vais leur dire que tu ne te sens pas bien et que tu ne peux pas aller au lycée aujourd'hui. Tu vas rester ici jusqu'à mon retour.
Elle ne répond pas. Elle continue de pleurer, alors je l'entraîne vers le lit puis retourne dans la salle de bain et remballe le test, que je cache dans un coin sous le lavabo. Puis je me précipite dans ma chambre pour me changer.
Je m'en vais.
Je suis parti presque toute la journée.
Trouver une solution.
Quand enfin je me gare devant la maison, j'ai encore à peu près une heure avant l'arrivée de mon père et de Lisa.
Je prends tout ce que j'ai entasser sur le siège voisins et fonce pour voir où en est Mélissa. En partant ce matin, j'ai oublié mon téléphone, si bien que je n'ai pas pu l'appeler pour lui demander comment ça allait et je mentirais si je disais que ça ne m'a pas rendu malade.
Je rentre.
Cours vers apporte.
Je frappe.

–Mélissa ?
J'entends un mouvement. Quelque chose heurte porte, me faisant reculer d'un bond. Quand je comprends ce qui se passe, je frappe de nouveau plus fort.

–Mélissa ! Ouvre moi !
Je l'entends crier :

–Va-t'en !
Je prends mon élan pour revenir et donner un coup d'épaule dans le panneau qui cède brusquement.
Je me retrouve au milieu de la pièce, face à Mélissa blotti contre la tête du lit, en train de sangloter dans ses mains.
Je m'approche.
Elle m'évite.
J'insiste.
Elle me frappe puisse se lève d'un bond, me repousse en plaquant ses paumes contre ma poitrine.

–Je te déteste ! Crie-t-elle en larmes.
Je lui prends les mains, j'essaye de la calmer.
Ça l'irrite encore plus.

–Va-t'en ! Si tu ne veux rien avoir à faire avec moi avec moi va-t'en !
C'est parole m'effarent.

–Mélissa, arrête ! Je suis là. Je ne vais nulle part.
Ses larmes redoublent . Elle crie encore. Elle dit que je l'ai abandonné, que je l'ai mis au lit ce matin et que je suis parti parce que je ne pouvais plus la supporter. Qu'elle m'avait déçu.
Je t'aime, Mélissa. Plus que je ne m'aime moi-même.

–Ma chérie, non,dis-je en l'attirant contre moi. Je ne t'ai pas quitté. Je t'ai dit que j'allais revenir.
Je suis désolé qu'elle n'ai pas compris pourquoi je suis parti aujourd'hui. Et encore plus de ne pas le lui avoir expliqué.
Je la ramène vers ses oreillers, l'adisse à la tête du lit.

–Mélissa , tu ne m'as pas déçu du tout. C'est à moi que j'en veux. Je cherche à réparer mon erreur. C'est à ça que je viens de passer la journée. Je chercher un moyen de résoudre notre problème.
Je me lève pour aller chercher les dossiers que je viens étaler sur le lit. Je lui montre tout. Les brochures pour le logement familiaux que j'ai ramassé sur le campus, les questionnaires à remplir pour faire garder le bébé gratuitement à l'université, les bulletins d'aide financière, les cours de soir les cours en ligne, j'ai aussi la liste des conseils juridiques, et comme tout ceci pourrait se coordonner avec mon école de pilotage.
Toutes les possibilités sont ainsi étalées devant elle, et je veux qu'elle voit que, même si nous ne le désirons pas, même si nous ne l'avons pas fait exprès ...
Nous pourrons nous en sortir.

–Je sais que ce sera beaucoup plus difficile avec un bébé, Mélissa. Je le sais. Mais ce n'est pas impossible.
Elle contemple tout ce que j'ai étalé devant elle.
Je l'observe en silence et finit par voir ses épaules trembler, tandis qu' elle se couvre la bouche d'une main.
Elle lève sur moi ses yeux rougis par les larmes et, soudain, plonge vers moi, m'entour le coup des de ses bras.
Elle me dit qu'elle m'aime .
Tu m'aimes tant, Mélissa.
Elle m'embrasse tant qu'elle peut.

–On s'appartient l'un l'autre, Jungkook, murmure tel à l'oreille.
Je l'étreins a mon tour.

–On s'appartient l'un à l'autre, Mélissa.

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J'espère que vous avez aimez votez si oui !
Vous êtes team Mélissa ou kayla ?

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