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Précédemment :
J'ai tellement de choses auxquelles je devrais penser que je n'arrive plus à réfléchir. Ce cercle infernal ne s'arrêtera t-il donc jamais ? //

Une fois mon pied nu posé à terre, je décide finalement de faire demi-tour et de demeurer un peu plus longtemps dans mon lit. Je rabats ensuite mes jambes contre ma poitrine. Le sol glacé du matin ne me plaît pas. Cette sensation de froid se propageant dans mon corps ne me plaît pas non plus. Me réveiller seule dans ce froid après une nuit aussi chaude me plaît encore moins.

Après de longues minutes à rêvasser, je me défais de la couverture et marche en direction de mon armoire. Je mets le premier tee-shirt et le premier bas que je vois pour directement me diriger vers le salon. Sur la table basse repose un bout de papier déchiré sur lequel est lisible l'inscription : « Désolé. » Puis au verso est inscrit : « Je suppose qu'on se verra ce soir à la fête de Vernon. »

J'avais donc raison. Tout ceci s'est bel et bien déroulé...
Mais quelque chose me dérange. Le mot qu'il m'a laissé. Veut-il dire qu'il m'attend à cette fête ? Espère-t-il que je viendrais ? Honnêtement je n'ai jamais considéré cette soirée, pour moi c'était un non catégorique.

C'était.

J'envoie quelque messages à mes amies pour savoir qui sera présent ce soir et ne reçois que des réponses négatives.
Sur ce, j'éteins mon téléphone et le place dans la poche de mon jogging.

//

À peine ai-je pénétré dans la maison, qu'une odeur de cigarette, d'alcool et de transpiration vint frapper mes narines. Tout ce que je hais. Je me retourne pour voir où pourrait être passé le grand brun et le vois déjà entrain de friquoter avec une autre.

Je me fraye donc un passage entre les invités pour un atteindre ce que j'appelle "l'espace de survie" qui n'est d'autre que le bar. Pas de personne qui vous bousculent, pas d'odeur immonde, pas d'hommes qui viennent vous draguer...

Ou peut-être est-ce juste ce que j'aimerai.

Aucun endroit dans une soirée n'est une zone de sécurité.

Je me sers un verre d'eau et m'assis sur un siège pour regarder les gens danser tout en me demandant ce que je fais là. Mes yeux dérivèrent "malencontreusement​" sur Joshua. Dansant collé à une fille dont je ne connais point le nom. Il plaçe ses mains sur les hanches de la grande blonde et commençe à l'embrasser.

Je vis rouge. C'est comme si le temps s'arrêter. Le bruit du petit bout de fer trottant au rythme des secondes raisonne dans mes oreilles. Tout est compté. Chaque minutes et chaque secondes sont importantes. L'aiguille qui marche dans le cadran marche aussi dans les âmes.

De la jalousie me diriez vous ?

Peut-être bien.

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469 mots-

Si vous lisez ce message, soyez indulgent avec cette histoire :) Je n'avais que 14 ans quand je l'ai écrite 💀

(bitter)sweetness || hong.joshua FR.versionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant