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Précédemment:
Je vis rouge. C'est comme si le temps s'arrêter. Le bruit du petit bout de fer trottant au rythme des secondes raisonna dans mes oreilles. Tout est compté. Chaque minutes et chaque secondes sont importantes. L'aiguille qui marche dans le cadran marche aussi dans les âmes.

De la jalousie me diriez vous ?

Peut-être bien.//

Je pose brusquement mon verre sur la table et me lève d'un bond. Joshua a dû se rendre compte de quelque chose étant donné que son regard dérive sur moi. Je commençe à le fixer des yeux et il commençe à me fixer en retour.

C'était exactement ce que nous faisions quand nous nous ennuyons en classe. Nous pouvions nous regarder pendant des heures mais maintenant cela n'a plus rien d'un jeu entre nous.

La fille, étant toujours dans ses bras, se retourne également et me reluque de la tête aux pieds. Deux contre un ? Je rigole intérieurement. Drapeau blanc de ma part. J'abandonne. Je baisse la tête et me retourne pour sortir de cette pièce. Fuir. C'est la seule chose que je sais fair. Partir. Abandonner.

Je veux quitter cet endroit le plus vite possible. Pourquoi réagir comme cela? Après tout nous ne sommes pas en couple. Il peut embrasser n'importe quelle bouche, je n'ai rien à voir avec tout cela.

La hâte et l'envie de partir loin s'empare de mon corps et me conduit dans des couloirs que je ne connais point. Je marche sans trop savoir où aller. Mon itinéraire finit par débouché au balcon, donnant une magnifique vue sur la piscine extérieure.

Je m'assois à terre, dos à la rambarde. Le paysage étant derrière moi, je contemple mon reflet dans la porte vitrée. J'aurais voulu croire que ça n'était pas moi que je voyais. L'image que je reflète m'horrifie.

Une fille de taille moyenne, presque la peau sur les os, une chevelure en bataille, du mascara ayant coulé sur les joues, des cernes aussi noires que ses pensées, des yeux.. apeurés ? Perdus ? Tristes ?

Mais ne pensez vous pas que se décevoir nous même est le pire ? Prétendre que nous ne sommes pas blessé ou seul et que tout vas bien. Je crois que je suis comme ça. Et les faux prétextes, les faux dires, ont fait tomber mon coeur malade. Alors j'aurais dû lui dire. Je n'aurais pas du mépriser mes sentiments.

Ce reflet. Cette fille dans la fenêtre. Malheureusement c'est bien moi. Je n'arrive pas à le croire. Cela me semble impossible. Je n'ai jamais était si misérable. Je suis misérable pour lui.

Pourquoi suis je comme cela ? Pourquoi moi et pourquoi lui ? Je ne peux plus faire marche arrière, je suis devenue dépendante de cet homme. En un regard, en un geste ou en un mot il peut me briser comme il peut tout aussi bien me faire renaître. Raviver la flamme qui n'est désormais plus qu'une simple braise en moi.

Sans même le savoir, il as pris contrôle de mon être.

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495 mots-

Ça fait longtemps que je n'ai pas posté mais je n'aime plus cette histoire. Je me force à la finir et ce n'ai pas une bonne chose si je ne veux pas la bâcler.

(bitter)sweetness || hong.joshua FR.versionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant