Je me relève car j'étais restée à terre et j'essaie de casser le cadenas. Il est beaucoup trop solide. Alors j'essaie avec un bout de bois qui étais par terre, mais impossible d'ouvrir. Puis j'allais essayer avec une pince que j'avais mis pour accrocher mes cheveux quand j'entends des pas s'approcher de moi. Alors je m'empresse de partir silencieusement plus loin dans le jardin.
Daniel : T/P ?! POURQUOI J'ENTENDS PAS LA TONDEUSE ??
t/p : je ne la trouve pas
Daniel : OOOORH SI TU ÉTAIS VENUE ME DEMANDER ON AURAIT PAS PERDU DE TEMPS INUTILE !
t/p : pardon je..-
Daniel : MONTE DANS TA CHAMBRE. CE SOIRE TU NE MANGERAS PAS.
Je monte en silence. J'ai l'habitude de ne plus manger. Il n'empêche que cette porte fermée me reste en tête. Comment je pourrais y entrer..? Quand j'arrive dans mon lit je me couche et pense.
Ce soir, j'irai dehors ouvrir cette fichue porte.23h34
Mon oncle est parti dormir depuis trente minutes. J'enfile un pull noir, jogging noir, je mets des chaussettes et prend mes chaussures à la main. J'ai pris une lampe, une épingle, un couteau, et d'autres ustensiles qui pourrait ouvrir ou casser le cadenas. J'ai pris un sécateur. J'espère que ça cassera le cadenas sinon je pense pas pourvoir compter sur le reste. Je sors du plus silencieusement possible et je vais vers cette porte. J'ai enfilé mes chaussures entre temps. Puis à l'aide de la lampe, j'essaie d'ouvrir le cadenas avec l'épingle, ça ne marche pas. Puis avec le couteau. Non plus. Et enfin le sécateur, je commence à essayer de couper et en fait, il casse facilement. Je m'attendais pas à ça mais bon tant mieux. Bref j'hésite à entrer mais c'est ma seule chance, donc je pousse la porte. La salle est éclairée par des néons qui sont restés allumés visiblement. A l'intérieur, il y à plusieurs ordinateurs, des dossiers et d'autres choses. J'entre entièrement et me dépêche de commencer à fouiller. Dans le premier tiroir, j'ai vite compris que c'est tout les meurtres qu'il a commis. J'ai vite refermé, j'ai pas envie de voir tout ça. Mes mains trembles a cause du stress, il fait plutôt chaud alors je transpire, mes mains sont moites, je suis pas bien mais je continue. J'ouvre le deuxième tiroir et il y a des dossiers. J'ouvre celui sur le dessus et je vois des photos de Tayler, comme si il étais filmé en permanence. Ensuite, je redoute d'ouvrir le deuxième mais je le fais. C'est....ma vie. Filmée en intégralité. Depuis que j'habite à la house je crois. Nan un peu après. Je ferme vite le dossier et le remet a sa place. Puis j'ouvre le troisième tiroir. Il y a.. MON TÉLÉPHONE, MON ORDI, MES AFFAIRES PERSO !!! J'essaie d'allumer mon téléphone mais..pas de batterie. Dans le même tiroir il y a mon chargeur donc je trouve une prise et mets mon tel à charger. J'essaie de l'allumer mais il est pas assez charger alors j'attend. Ils j'arrive enfin à l'allumer. La première chose que je fais c'est d'aller sur snap. Je veux envoyer un message à ma famille (les amis qu'on considère comme une famille) mais quand j'ouvre snap, je vois ma tête. Je suis pâle. J'ai des cernes. Les yeux gonflés. Puis je vois une notification du groupe avec eux justement. Ils sont en train de parler. Un sourire s'est immédiatement affiché sur mon visage. Mais ce n'est pas ce qui m'intéresse. Mes yeux se posent derrière moi. Une caméra. Elle me filme depuis tout à l'heure. Et je suis prête à parier que dès que mon oncle viendra ici, il verra les vidéos. Je reprend mon tel, mon chargeur, celui de Tayler, et je pars en courant, toujours du polis silencieusement possible. Je dois m'en aller d'ici. Sinon je suis morte demain. Je vais en marchant rapidement vers la chambre de Tayler et le réveille.
*tout est en chuchotant*
t/p : TAYLER RÉVEILLE TOI ON DOIT PARTIR
Tayler : quoi comment ???
t/p : pose pas de questions fait vite ton sac on part. Tient ton tel dépêche
Tayler : quoi hein je comprend ri-
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2/ Payton, pourrais-tu m'aimer ?
FanfictionSi vous n'avez pas lu le tome 1, allez-y !! Après être partie en France et les avoir laissés, ma vie est devenue triste et maussade. Je n'ai plus aucune raison de vivre et hésite même à me laisser mourir. Puis....