Broken

CHAPITRE 36

Hello guys how are you doing.
Happy birthday à ma partenaire de lecture, a domou ndeye, ma coéquipière en commentaire Suspiliciousbee. Bon anniversaire ma chérie, je te souhaite le meilleur, Qu'Allah exauce tous tes souhaits, t'accorde une longue et heureuse vie, yokouté... ( il est 23h au Sénégal donc c'est toujours ton anniversaire chez nous ) . Hope you enjoyed your day🥳❤🥰🍰🎂🍾🎈🎈🎉

- Ma..ma.
- Mon bébé, oh, tu m'as tellement manqué, viens voir maman
Elle me fait un grand smack, tout mouillé, en s'accrochant à mon cou. Elle est tellement mignonne ma petite Aïcha, elle a tellement grandi, le temps passe si vite, dire qu'elle va bientôt fêter ses uns an, dans deux jours.
- C'est qui la plus belle de toute. C'est qui la princesse à sa maman.
- Ma...ma
Elle émettait cette douce mélodie à mon cœur, alors que je lui faisais des gili, que ne serais-je pas pour voir le joli sourire de ma fille, entendre son rire.
Qu'Allah accorde à toute femme, qui le désire bien sûr, de connaître ce bonheur, il n'y a rien de plus magnifique que d'être mère. De porter votre enfant et qu'il te regarde et te sourit. De l'entendre t'appeler maman.
- Dis maman, ma-man
- Ma...
- Bae : dis papa.
Je me retourne et le vois adossé à la porte, qui nous filmait, comme d'habitude. Un regard amoureux, on échange, un sourire. Je me lève la petite dans les bras pour aller à sa rencontre et l'embrasser en pleine bouche, pendant que ma fille sautillait pour que son père la prenne.
- Hello beau gosse
- Hello sexy girl. Comment vas-tu
- Alhamdoulillah et toi. Ta journée ça a été
- Bof bof. Je me suis ennuyé sur la route du retour.
- Désolée mon cœur, j'avais fini tôt et ma petite princesse me manquait beaucoup trop.
- Je vois ça. Alors prunelle à son papa, comment tu vas.
- Tu sais qu'elle ne peut pas te répondre.
- N'est-ce pas toi qui lui disais de dire maman.
- Ce n'est pas la même chose, je lui apprends les mots.
- C'est ça, comme s'il n'y a que maman que tu peux lui apprendre.
- Eh bien, c'est ce que j'ai envie de lui apprendre.
- Tchip
- Jaloux. Tu la prends avant qu'elle ne m'écrase la poitrine.
- Attends que je me lave les mains.
- Ahmed Tidiane nak ya ngui may togn, tu sais pertinemment qu'elle s'excite quand elle te voit et tu ne t'es pas lavé les mains avant de monter.
- Quoi j'avais hâte de retrouver ma petite famille. Et puis je pensais que peut-être elle serait en train de dormir.

- Tchip, vas y, fait vite.
Elle s'est mise à crier en s'en déchirer les poumons, réclamant son papa. Mane daal khalé yi diakhal nagn ma, ma sonou ci gnom pour diour léne, mais séne baye lagn gueune beug que mane (ces enfants sont pas croyables, c'est moi qui souffre pour leur donner naissance, mais ils aiment plus leur père que moi.).
Avec Salih, c'est toujours papa qui doit l'aider dans tout ce qu'il doit faire, papa ci, papa ça. La petite deh qu'elle voit papa, allez hop, maman aux oubliettes. Espèces de traîtres, tchip.
Mane nak ma ngui beug fiir deh ( je commence à être jalouse de leur relation.).
Je me prélassais dans la baignoire, évacuant toute cette fatigue de la journée.
- Tu comptes passer le restant de la journée là-dedans !!!
- ...
- Ta fille te réclame.
- Elle est bien avec toi.
- Donc tu m'entends, ça fait bientôt une heure que tu es là-bas tu fais quoi.
- Je me baigne.
- Depuis tout ce temps.
- Yup.
- L'eau n'a pas refroidi !
- Presque, mais j'aime bien cette température.
- Une chose de plus à noter dans ta bizarrerie.
- Bizarre toi-même
- Sors et viens prendre ta fille, elle te réclame et moi aussi j'ai besoin de prendre une douche.
- Pff. Elle est dans les bras de papa, elle n'a nullement besoin de maman.
- Ça sens la jalousie, même l'eau dans laquelle tu es ne peut masquer cette odeur, même un putois sens la rose à côté, ajoute plus de savon.
- Pfff
- Je t'avais promis que je serais le monde de ma petite princesse, hein mon bébé, c'est qui, qui aime son papa plus que n'importe qui au monde.
La petite filoute, comme pour appuyer les propos de son père, se mit à rire à sans rompre la corde vocale, on aurait dit qu'ils étaient dans la même pièce que moi.
J'ai pris tout mon temps avant de sortir, me sécher et m'enduire le corps, mettre un ensemble de lingerie rouge, en dentelle, une robe et rejoindre mes bouts de chou dans la chambre.
J'aurais bien aimé faire ma routine devant mon homme, pour le titiller un peu, mais avec la petite, même si elle ne comprend rien pour l'instant, je ne voudrais pas qu'elle me voie nue.
Comme depuis sa naissance, à chaque fois qu'elle me voit et me sourit, mon cœur déborde de bonheur.
Elle me tend ses petites mains et me montre ses cinq petites dents, ses jolies fossettes qui creusent sa joue, ses gros yeux qui brillent, oh qu'elle est mignonne ma petite poupée.
Putain, putain, putain. Je suis bloquée dans cet embouteillage de merde, depuis une bonne heure, et ces putains de connards derrière, qui n'arrêtent pas de klaxonner, comme si cela allait changer quoi que ce soit à la situation, alors que mon rendez-vous est dans trente minutes et j'allais à coup sûr arriver en retard.
Elle me tend ses petites mains et me montre ses cinq petites dents, ses jolies fossettes qui creusent sa joue, ses gros yeux qui brillent, oh qu'elle est mignonne ma petite poupée.
Dans le hall de l'hôtel, je me dirige vers l'hôtesse.
- Bonjour.
- Bonjour madame que puis je faire pour vous.
Belle, sexy et une très douce voix. Le rouge mate, sur ses lèvres lui allait comme un gant, avec sa dentition éclatante et bien alignée. Elle était très attirante, le pourquoi les femmes sont toujours placé à l'entrée, il est très difficile de ne pas prendre une chambre quand on entend cette voix même sans voir le visage de la propriétaire.
-Safia Diallo Sidibé, j'ai rendez-vous avec monsieur Mané, Elias Mané
- un instant, je vous en prie.
- pas de problème
Elle prend le combiné et compose le numéro de chambre de mon client.
- "Bonjour monsieur Mané, une dame, Safia Diallo Sidibé est là pour vous... D'accord." Monsieur Mané, dit qu'il vous recevra dans sa suite, vous pouvez l'y rejoindre, il vous attend. C'est la suite 502, cinquième étage.
J'allais lui dire de rappeler mon client pour lui dire de me retrouver en bas, mais le téléphone avait sonné et elle s'est mise à parler en anglais. J'ai appelé sur le numéro que m'avait donné monsieur Mané , mais ça sonnait dans le vide, je me suis résignée á prendre l'ascenseur pour le cinquième étage et sonner à sa porte.
Une dizaine de secondes plus tard, un monsieur, grand, baraqué, vient m'ouvrir la porte, en peignoir.
- Bonjour Maitre Diallo
- Sidibé, je vous en pris