Chapitre 1

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Ça y est. Ils étaient partit. Comme l'avait fais leurs parents une trentaines d'années avant eux, ils venait de quitter l'île où Violette, Klaus, Prunille et Béatrice avaient passés un ans. Cette année avait été difficile et -ils devaient se l'avouer- plutôt bizarre parce que il ne devait plus se méfier du comte Olaf, qui était mort, leur famille s'était agrandi, et ils étaient isolés du monde extérieur.
Ils avaient pris la décision de partir, pour retrouver -peut être- leurs amis les Beauxdraps, et pour que Béatrice puisse, -peut être- aller à l'école !
Ils étaient donc partit, et ils ramaient. Mais vers où ? Eux même ne le savait pas...
Après quelques journées passées à ramer, ils accostèrent sur une plage qui leur était fort familière. En effet, ils étaient à la plage Malamèr, la où tout avait commencé.
Maintenant qu'ils étaient dans leur ville natale -sauf pour la petite Beatrice-, ils se posèrent une question, qu'ils auraient dû déposer dès le début. Où aller et comment sur vivre ? Parce que, sur leur île, il n'y avait qu'eux et ils avaient tout se dont ils avaient besoin pour vivre. Alors qu'ici, ils restaient des criminels -même s'ils étaient innocent- qui avaient disparu depuis un ans et des poussières.

- Je sais ou peux aller ! Déclare enfin Violette mais si elle n'avait pas l'aire d'être sur d'elle.
- Où ? Demandèrent Klaus et Prunille d'une seule voie pleine d'espoir.
- Je sais que cette idée ne va pas vous plaire, moi-même, elle ne m'enchante gère. Mais comme notre maison à brûlé et que le comté Olaf est mort, il ne nous reste que le manoir d'Olaf. Avec un peut de chance, il n'est pas détruit, et comme le propriétaire n'est plus et que nous somme -aux yeux de tous- disparu, personne ne se doutera de rien. On en profitera pour rénover le manoir a notre goût de l'intérieur, et dans deux ans, quand je serais majeur et que je toucherait la fortune de nos parents, on la rénovera de l'extérieur. Pour se nourrir... dis Violette avant de se faire couper la parole par Klaus
- C'est vrai que se n'est pas ce qu'il y a de plus enchantant mais c'est une bonne idée, contentons nous déjà d'aller vérifier que la baraque tienne encore debout, dis Klaus avec assurance.
Violette hocha la tête et les quartes enfants se mirent à marcher. Bien sûr, Béatrice était dans les bras de Violette, car elle ne pouvais pas marcher autant de temps et Klaus tenait leurs maigres bagages dans ses bras. Prunille les suivais a la trace, tantôt agrippé au bras de Violette, tantôt tenant la main de Klaus.
Quand ils arrivèrent devant le sinistre manoir, ils constatèrent que rien n'avait changé. Mieux, rien n'avait bougé ne serais ce que d'un millimètre.
Mais quand ils arrivèrent dans le hall de la maison, ils eurent une mauvaise surprise...

A suivre...

Premier chapitre !
Alors ?

La malheureuse vie des orphelins Baudelaire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant