Romance au chalet

Une nuit torride pleine de péchés

Pendant cette balade, Max et Ylli décidèrent de se tenir la main et d’assumer leur relation, ce qu’ils ne pouvaient pas faire devant leurs amis. Ils firent le tour du village jusqu’à arrivé à la place de La Bresse où se trouvait une magnifique église. Ils décidèrent de rentrer à l’intérieur comme Max imaginait rentrer dans Ylli. Ils admirèrent les vitraux mais aussi bien l’un que l’autre n’étaient pas vraiment intéressés par la décoration gothique de l’église. Un seul regard suffit. Ils se précipitèrent en dehors de l’église et partirent dans une ruelle sombre pour s’embrasser fougueusement. Sans se poser de questions, ils savaient quoi faire. Ils passèrent directement aux choses sérieuses en empoignant le sexe de leur partenaire. Ils étaient nus dans cette petite ruelle, un air frais circulait et ils avaient besoin de se réchauffer. Ils s’enlacèrent de plus belle puis après une masturbation mutuelle pleine d’émotions Ylli commença son habituelle fellation. Cette fois ci, Max ne voulait pas rester statique. Il prit alors son doigt le plus rugueux et l’enfonça dans l’anus de l’albanais pendant que celui-ci le suçait tendrement. Ylli, submergé de plaisir, intensifia sa fellation et glissa lui aussi, un doigt dans les fesses de son amant. Max n’avait jamais ressenti ça, il était envahi par une sensation de plaisir intense, ce qui lui donna envie d’aller encore plus loin. Il arrêta donc Ylli et lui dit de le suivre pour rentrer au chalet. Ils s’empressèrent de rentrer, découvrirent leurs 4 amis complètement ivres, Max précisa rapidement à ceux-ci qu’il dormirait avec Ylli car il avait peur que Alban lui vomisse dessus pendant la nuit.
Ils se ruèrent dans la chambre d’Ylli et fermèrent la porte à clé. Max empoigna alors d’un coup assuré son sexe, il demanda à Ylli de se mettre à 4 pattes, ce qu’il fit avec plaisir, cracha sur sa queue pour la lubrifier et rentra son gland dans l’anus de son amant. Ylli n’avait jamais ressenti pareil sensation. Il demanda rapidement à Max de tout rentrer. A leur grand plaisir, ils pouvaient sans problème gémir à leur guise car leurs amis écoutaient à fond une musique paillarde à base de Ricard et hurlaient car ils étaient complètement ivres morts. Ylli gémit donc de toute ses forces au moment où Max inséra son sexe imposant tout au fond de son si petit trou. D’un mouvement de va et vient rapide il commença à enculer fortement Ylli et sortait parfois son sexe et s’en servait pour claquer les fesses de celui-ci avec. L’albanais n’avait jamais ressenti un plaisir si intense, il s’agrippait de toutes ses forces à l’oreiller pour contenir son envie de hurler, en craignant que la musique ne suffise pas à couvrir le bruit. Max succomba au plaisir ressenti et se laissa aller au fond de l’anus d’Ylli, mais il n’en avait pas assez, il demanda donc à son amant d’inverser les rôles. Ylli se redressa donc tant bien que mal, les jambes toujours fébriles après toute cette violence reçue dans son arrière-train, poussa fougueusement Max pour qu’il se retrouve à 4 pattes comme une chienne et glissa son sexe dans la bouche de celui-ci pour le lubrifier rapidement. Il passa donc derrière lui et entra violemment dans son cul déjà dilaté par l’excitation. Max hurla de plaisir sans rien ne pouvoir retenir à cause de la surprise. Ylli se mit à gémir aussi. Sentir son sexe dans son ami et le sperme de celui-ci couler doucement de son anus était furieusement excitant. Il ne pouvait plus se retenir et éjacula toute son âme dans le cul bombé de Max. Les deux pécheurs étaient luisants de transpiration.
Au même moment, Andrea frappa à la porte à tel point qu'elle faillit s’effondrer. Ils furent paralysés par la peur d’avoir été trop bruyants. “ALBAN ET PIERRE VOMISSENT!!! Vous venez voir le spectacle?” bégaya le rugbyman, toujours bourré. “FTG enculé de merde on dort !” répondit Ylli en espérant le faire partir. Les pas lourds d’Andrea se dirigeant vers l’extérieur rassura les deux amants. Épuisés par leurs ébats, les deux s’endormirent dans les bras l’un de l’autre après s’être échangés quelques mots doux.