Cette fan fiction est sur Felix, si jamais vous voulez que j'en fasse une sur un autre membre juste après celle-ci, dites le moi dès le début puisque que je fais d'abord un brouillon sur une feuille avant de poster donc il faudra un peu de temps. C'...
Le trajet dure 15 minutes et pendant ces 15 minutes, la voiture qui a démarrée en même temps que moi me suit. Une fois garée je remarque que la voiture qui me suivait n'est plus là pourtant je sens une présence qui comme à m'angoisser. Je me dirige à pas rapides vers ma maison. Je reste un moment devant la porte à m'interroger si je rentre ou pas. Lentement ma main se lève et se pose sur la poignée de la porte qui n'est jamais fermée. Je rentre dans la maison mais je ne peux pas faire un autre pas pour y rentrer entièrement puisque quelqu'un me retient. Par reflex, je mets un coup de poing dans la tête de l'inconnu qui l'évite de justesse. La personne ferme la porte et me prend contre elle.
??? : Tu sais que tu vas souffrir... Alors pourquoi y retourner ?
De l'eau salé coule lentement sur mes joues et pour trouver du réconfort, je viens blottir ma tête dans le coup de l'homme inconnu. Sa voix était grave mais rassurante. Ses gestes me surprennent légèrement mais ils sont réconfortants. Sa main vient doucement me caresser les cheveux tandis que j'en profite pour sentir l'odeur du jeune homme. Il porte un parfum corporel doux et sucré ce qui, malgré moi, me berce légèrement. Je lève la tête vers le visage du jeune homme et sourit en le reconnaissant.
T/P : Felix ?
Felix : Tu m'as réveillé avec tout le bruit que tu faisais pour te lever.
T/P : Désolée ...
Je me dégage et baisse la tête.
T/P : Mais si je te dérange autant, laisse-moi rentrer chez moi.
Felix : Très bien. À plus tard alors.
Il me tourne le dos et commence à partir. Je soupire et me retourne vers ma maison pour y rentrer. J'esquive tous les sous-vêtements et les bouteilles d'alcool qui traînent par terre. Sans chercher mon père, je vais dans ma chambre et m'apprête à fermer la porte sauf que quelqu'un me prend par les cheveux et plaque contre un mur que ma tête heurte violemment. Suite à la douleur je grimace. Mon père lève sa main sur moi et commence à me donner des coups. Mes pleurs résonnent dans la maison. Les yeux fermés et sans chercher à fuir, j'encaisse ses coups jusqu'à ce qu'ils se stoppent comme pas magie.
. . . . . A suivre
———
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
