Origines 5:Dabi

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Après l'incident avec son père,le jeune garçon avait bien cru qu'il allait mourir.Mais il fut envoyé directement à l'hôpital,le jeune garçon entendait tout ce qui se passait autour de lui des voix paniquée,des instruments.

Puis plus rien,tout s'arrêta autour de lui après un long sifflement.

Quand il se réveilla,tout était noir où étais il ? Il regarda l'endroit et reconnu facilement une morgue.

En dehors du papier blanc,il était nu.Alors il se leva avec les papiers autour de lui se dirigeant vers la porte mais elle était bloquée.Sans réfléchir,il utilisa son alter et brisa la porte après l'avoir légèrement fondue.

Quand il sorti,il vu des couloirs blanc et sombre.Regardant par une fenêtre au fond du couloir,il pouvait voir le ciel bleu et étoilé après tout,les nuits noir n'existait plus désormais. Il continua son chemin dans les couloirs vide et voyant qu'il était au rez-de-chaussée il courra vers la porte d'entrée mais voyant qu'elle était bloquée également,afin de ne pas interpeller le gardien de nuit où les techniciennes de surface,il passa par la sortie de secours du premier étages,étonnamment ouverte.

La porte menait directement à des escaliers qu'il prit afin de redescendre,pied nu sur l'herbe.

Il s'arrêta et réfléchissait,que devrait-il faire maintenant ?
Il savait pas quand il était,il pouvait risqué de chercher après ses affaires et il pouvait en profité pour éviter son père pour faire croire à sa mort.

La décision était vite prise,le garçon haïssait son père plus que n'importe qui en ce monde. Alors il décida de se rendre à une friperie mais il se rendu compte qu'il n'avait pas d'argent,logique il n'avait pas ses affaires. Il se dirigea vers la gérante de nuit et lui explique qu'il n'avait pas de vêtements et que n'importe quoi ferait l'affaire.

Ses cheveux rouges flamboyant attiraient le regard surtout avec le contraste de ses brûlure et de son visage déformée. Il faisait peur.

La gérante sans chercher à comprendre lui donna un T-shirt et un pantalon. Elle avait été effrayée par le ton précédent du jeune homme.

Pourtant quand il leva les yeux interrogateur par rapport aux regards de la femme,il lui fit un sourire tordu qui se voulait bienveillant avec un petit « Merci beaucoup ».

𝗗𝗲𝘀 𝗖𝗿𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗗𝗲 𝗩𝗶𝗹𝗮𝗶𝗻𝘀 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant