🔹 Point de vue de ??? 🔹
?: Jeune maître, il est l'heure de se lever.
Je me réveille délicatement en entendant ses mots de si bon matin. Je m'étire sous les yeux de l'un de nos domestiques et me lève.
Moi: m'avez-vous réveillé à l'heure que je vous ai indiqué ?
Domestique: Bien sûr, il est 6h50 maître, le soleil vient à peine de se lever.
Moi: Très bien, vous pouvez disposer, je vais me doucher.
Domestique: D'accord, je vais de ce pas rejoindre votre oncle.
Je sors de ma chambre suivi de mon domestique qui m'a ouvert la porte et m'avance dans une direction opposé à la sienne. Je souffle légèrement.
Je rentre dans ma salle de bain, verrouille la porte et me déshabille. Je me regarde dans le miroir avant de pénétrer la douche.
ꕥ
En sortant de la salle de bain habillé d'un t-shirt bleu et d'un jean noir, je me dirige vers la salle à manger au-rez-de-chaussée.
Domestiques: Bonjour jeune Maître.
Plusieurs de nos domestiques m'accueillent alors qu'ils servaient le déjeuner à l'homme qui possède cette maison.
Moi: Bonjour oncle Stanford.
Oncle Stanford: Bonjour Mason.
Je m'assois à ma place attendant que l'un de nos servants m'apporte le déjeuner. Ce qui ne tarda pas d'ailleurs.
Oncle Stanford: Linya, que fait Mabel ? Elle n'est pas encore debout ?
Linya: Excusez-moi Maître, la domestique que j'ai envoyé effectuer cette tâche est revenue en m'expliquant que notre jeune Maîtresse ne compte pas se lever et s'est enfermée dans sa chambre.
Mon oncle soupire d'agacement avant de me lancer un regard que je compris immédiatement.
Mason: J'ai compris, j'y vais.
Je me lève en râlant et me dirige vers sa chambre afin de la sortir de force.
ꕥ
Mabel: Tu n'as plus jamais intérêt à me réveiller comme ça !
Mason: Calme-toi Mabel, c'est de ta faute.
Nous étions en train d'enfiler nos chaussures. Je soupire légèrement en regardant ma sœur jumelle se chausser.
Mason: On va au Lycée Mabel, pas à un bal.
Mabel: Hein ? Pourquoi tu dis ça ?
Mason: Tu ne devrais pas mettre de talons, ça va te compliquer les choses.
Elle rigole légèrement avant de ma taper dans le dos. Je repousse sa main un peu énervé.
Mason: J'ai compris, arrête de rigoler, on y va.
Mabel: Franchement tu pourrais rire de temps en temps, ça serait tellement bien, dit-elle d'un air faussement triste.
