Au revoir…
Au fin fond de la cité de Newton, dans une cabane au milieu de la forêt, des éclats de rire chaleureux effleuraient la cime des arbres. En effet, durant les cinq mois qui s’étaient écoulés, Jack et Margaux avaient demeuré auprès de Peter. Ils savaient désormais contrôler leurs pouvoirs à la perfection. Malheureusement, les rires que ces trois amis partageaient ce soir-là étaient les derniers. Le lendemain, Jack et Margaux allaient quitter Peter et retourner à la cité des Etanges. C’est ainsi qu’à l’aube suivante, les deux jeunes se tenaient sur le pas de la porte et disaient au revoir à leur ami.
« -Merci vraiment pour tout ! Dit jack à Peter.
-Merci à vous d’être venu jusqu’ici, répondit Peter. J’ai été très heureux de vous rencontrer et de vous aider. »
Puis il prit ses deux amis dans les bras. Margaux, triste de quitter Peter, ne pu dire un mot…Elle se contenta de chuchoter un faible « au revoir », alors que Jack et elle s’éloignait de la cabane. Peter les regarda depuis sa porte jusqu’à ce qu’ils gagnent la lisière des bois…puis ils disparurent dans les profondeurs de la forêt de Newton. Après être sortis de la forêt, Jack et Margaux revenir sur leurs pas dans la Vallée. Au milieu de leurs chemin, Jack prit la main de margaux dans la sienne. Margaux lui rendit alors un sourire du coin des lèvres. En effet, un mois après le départ de Troy, les deux jeunes s’étaient rapprochés. Depuis, leur relation avait toujours été très fusionnelle…
A la fin de la journée, Jack et Margaux atteignirent la pancarte à la limite de Newton. Ils avaient progressé très rapidement du fait des pouvoirs des deux jeunes. Après avoir passé la limite de la cité, ils cherchèrent un endroit où planter la tente et préparèrent le repas tranquillement. Ils mangèrent, et partirent se coucher. Juste avant de s’endormir, Margaux donna un baiser à Jack : ils se sentaient bien…
Durant la semaine suivante, ils marchèrent vers les Etanges. Et enfin, après une longue matinée de marche, alors que l’horloge de cité sonnait 12H, Jack toqua finalement à l’appartement de sa Tante Alice.
