septième chapitre

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-Oh, merci beaucoup ! s'exclame Alizée.

-On est quitte, maintenant, lui dit Eric-Maxim, et Alizée hoche la tête.

-On n'arrête pas de se croiser.

-Faut croire que Lisbonne n'est pas une aussi grande ville que ça.

Alizée rit, ce qui fit sourire Eric-Maxim.

-À bientôt, alors, dit-elle avant de s'éloigner pour rejoindre ses neveux et nièces, qui était à quelques mètres en train d'observer les animaux. Il lui faut quelques instants pour encaisser le coup. Elle a failli perdre son portefeuille en plein Lisbonne, tous ses papiers, son argent. Heureusement, l'homme duquel elle a trouvé le portefeuille était là. Et ça, c'est quand même une heureuse coïncidence.

Alizée jette un regard derrière elle. L'homme est accompagné de plusieurs personnes, et elle reconnaît un jeune homme qui était aussi avec lui la veille ; celui qui a proposé de l'eau à Hana. Il semble la repérer aussi, et malgré le masque, Alizée voit qu'il sourit.

Ils sont sûrement en vacances ensemble ici. Elle ne sait pas à combien ils sont partis, mais ils doivent bien s'amuser.

Alizée les croise de nouveau une heure plus tard, près du stand de glaces. Elle s'est installée avec les petits dans l'herbe, à bonne distance des autres visiteurs, pour pouvoir enlever son masque ; l'homme du portefeuille est à quelques mètres d'eux.

C'était la première fois qu'elle le voit sans masque, et elle se surprend à le trouver vraiment très beau.

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