-Chapitre 7: La carte-

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La rue commerçante de Daegu n'est pas grande, mais les magasins qui si trouvant sont si nombreux que nos deux amis ne savent pas par où commencer. Une carte dans une ville c'est facile à trouver, mais une carte dans un monde où la vie est morte c'est bien moins facile. Bangchan donne l'ordre de se séparer pour ainsi couvrir plus de terrain. Changbin décide d'explorer tous les magasins ornant la droite de la rue. Avant que Changbin ne commence à explorer le côté droit, Bangchan l'interpelle pour lui rappeler de faire attention, ce que Changbin confirme en lui disant de ne pas s'en faire pour lui. Il se dirige vers le premier magasin à sa gauche. Ne voulant pas se faire repérer par qui que ce soit, il s'avance doucement faisant attention à ne pas faire de bruit. La vitrine du magasin est cassé, laissant librement les feuilles de documents voler au vent. Vue de l'extérieur l'intérieur est sombre et lugubre. La lumière du soleil d'un belle été au matin n'aide pas du tout Bangchan. Plissant ses yeux pour essayer de voire si quelqu'un ou quelque chose si trouve. En quelques secondes ses yeux se sont habituer à l'obscurité. Ne voyant toujours personnes dans le magasin, une sensation de soulagement traversent Bangchan. Mais il ne relâche pas le fait qu'il peut toujours avoir des infectés à l'intérieur.

La porte vitrée du petit shop, ne s'ouvre pas. Bangchan force la porte de toutes ses forces mais elle semble lui résister. Ne pouvant pas l'ouvrir Bangchan se résigne à passer par la vitrine. Il enjambe les morceau de verres encore debout le menaçant de lui faire du mal si il les approche de trop. En deux coup de jambe Bangchan se retrouve à l'intérieur à l'affut de n'importe qu'elle bruit pouvant le mettre en danger. Il remarque ce qu'il n'a pas put voire dehors. Que ce shop n'est pas un shop de vêtement, de maquillage ou autre comme nous pouvons souvent en trouver en Corée du Sud. Ce shop est plus une épicerie familial tenu de père en fils. Content de voir les multitudes de paquets nouilles à cuire et de pain de mie dans les rayons, le met dans tous ses états. Affamé de ne pas avoir mangé se matin, Bangchan se mit à chercher de la nourriture qu'ils leurs faut pour quatre et surtout pour plusieurs jours. A chaque fois qu'il passe devant un rayon il prend tout ce qui lui passe par la tête. De mangeable à immangeable voire de cuisinable à incuisinable. Il ne sait pas se qu'il prend mais tout se qu'il est sûre c'est qu'ils ne vont pas manquer de nourriture pendant au moins deux ou trois semaines. A la fin de ses petite emplette il se dirige vers la caisse et commence un monologue ;

"Salut Song ! dit-il en posant son sac à dos sur le comptoir, grave heureux de te voire. Ouais moi aussi sa me fait plaisir. Alors ta femme elle à accoucher ? Ouais je sais pas besoin de me répondre... il reprend son sac en partant vers la vitre d'où il est arriver."

Il arrive pratiquement à la vitre d'où il viens quand une petite phrase inaudible fit sortir Bangchan de sa route vers la sorti. Un son incompréhensible sans tendre l'oreille mais si familier pour Bangchan. Un son entre agonie et appelle au secours qui lui rappelle de mauvais souvenirs. Curieux de savoir ce que c'est, Bangchan tend l'oreille et se dirige en fonction de la sonorité des bruits d'agonie. L'environnement ne l'aide pas du tout, certains rayonnages sont à terre avec les éclairages n'aidant pas plus. Au bout d'un moment en s'enfonçant encore plus loin dans l'obscurité presque total il remarque facilement des traces de sangs encore fraîche au sol. Les gémissements d'agonie ce sont accentuer en arrivant dans la zone. En remarquant un rayonnage au sol il compris certainement la situation. Les gémissements ne pouvait pas appartenir à un humain ou à un animal, la voix est trop grave et déformer pour cela. Un côté animal dans les gémissements se font détecter par Bangchan. Un moment il s'arrête pour repenser se qu'il peut lui arriver en s'approchant ou par manque de précaution. Alors il se saisi de son chargeur dans sa poche arrière de son jeans noir et l'insère dans son 10mm. Il commence à avancer en pointant son arme charger devant lui, continuant de marcher s'assurant qu'il n'y a personne d'autre au alentour. Les pas de Bangchan habituellement lourd par sa musculature imposante se transforme peut à peut en pas de fée se posant sur le sol froid et sale.

🅲🅸🆃🆈 🅹🆄🅽🅶🅻🅴 ₜₒₘₑ₁ᴮᵃⁿᵍᶜʰᵃⁿOù les histoires vivent. Découvrez maintenant