Part.1

439 36 2
                                    

Les chants  des oiseaux de mer qui faisaient des acrobaties dans le ciel se mélangeait avec celui des vagues et des touristes descendant de la chaloupe.



Quand Jack  mis ses pieds pour la première fois à la débarcadère la première chose qui attira son attention fut le chapeau jaune de la fille située à neuf heures à quelques mètres de lui.



La  belle taille fine a l'allure de top model au teint noir avec un petit nez une petite bouche aux lèvres pulpeuses sur des talons augmentant plus sa taille dans un chapeau jaune qui mariait la grande sac à main d'été fixait la mer d'un regard lointain.

Jack  avait pris la chaloupe quelques minutes plutôt au port de Dakar avec un groupe de touristes américains .

Gorée comme la plupart des villes coloniale gardait encore les tuiles rouges vestiges d'une cité coloniale.

C'était le même décors dans certains endroits à «Ndar , Tinguédje et  Ndakarou».

Pendant l'ère coloniale Saint Louis Rufisque Dakar et Gorée étaient appelés les quatre communes du Sénégal et les personnes qui y vivaient étaient considérées comme des citoyens français .

Jack avait quitté sa New Orleans  natale pour visiter le Sénégal en générale et l'île de Gorée en particulier .

C'est un voyage qu'il à toujours rêvé de faire motivé par sa grand-mère qui lui racontait les histoires de la traite négrière du commerce triangulaire et des civilisations noires .

Avec sa taille de basketteur et sa grande barbe appareil photo à la main habillée d'un maillot de basket à l'effigie des «TORONTO RAPTORS  »d'un jean bleu et des «NIKE» rouge Bordeaux.

Il était très content et un sourire authentique se lisait sur son visage .

Le soleil d'été s'apprêtait à se coucher.

Un garçon qui racontait l'histoire de Gorée aux touristes attira son attention par son éloquence et sa maîtrise de ce qu'il racontait.

Il jeta un rapide coup d'œil au tour de lui remarquant au passages quelques belles goréenne au sourire ravageur sans pour autant quitté de regard cette belle qui l'avait scotchée .

Des tailles fines à la beauté sauvage au joli prénom comme on en trouvait à Saint Louis du Sénégal .

Ces deux villes se partageaient les filles les plus douces et les plus belles du pays car le métissage était encré dans leur quotidien et il n'était pas rare d'y trouver des noirs qui portaient le prénom des blancs .

Les bâtisses étaient la plupart du temps de couleurs vives.

À Gorée comme à Saint Louis du Sénégal les européens surtout français se sont métissés avec la population créant la lignée des «Signares».

La belle taille fine à la mini robe décolletée blanche s'arrêtant sur ses mi cuisses dévoilant ses longues jambes et ses petits seins ferme d'adolescente enleva ses tallons  s'assit à côté d'un jeune homme aux «Rasta» qui terminait un tableau d'art représentant une grande pirogue qui était en face de lui et le taquinait avec son chapeau jaune qu'il avait mit sur sa tête riant aux éclats sous le regard de Jack  qui se disant que c'était peine perdue car elle  appartenait déjà à quelqu'un d'autre .



A Suivre...

LA FILLE DE GORÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant