Les yeux rivés sur l'horizon,les oreilles à l'écoute des sons.
Les voix,
les rires,
les cries,
les tires,
les bijoux,
les pas,
les claquements,
les dérapages,
les voitures,
Ceux du monde qui m'entoure.
Les yeux rivés sur l'horizon tente de s'éterniser sur le soleil qui ce couche
petit à petit.Les beaux rosiers du printemps qui s'échappe des branches d'arbres.
Ou alors cueilli par les enfants qui les trouve sûrement éblouissante.
Les légers coups de vent, à faire frissonner.
..le temps.
Le beaux temps.
Existe-t-il un mauvais temps ?
Un léger sourire ce dessine sur mes lèvres.
..malgré moi.
Pourquoi ?
Pourquoi chaque jours je me demande pourquoi ?
Je n'ai cessée de me détacher de ton emprise,
je n'ai cessée de te pleurée,
je n'ai cessée de t'aimer.
Mais t'aimer de quel façon ?
Je t'ai aimée à en mourir,
de façon inconcevable,
inimaginable,
irréalisable.
C'était au-delà de mes forces et de mes capacités.
Je me suis d'abord retrouvé sous les draps,
blanc, couverte par ma calebasse,
sous les draps rouges,
ornés remplie de pétale et perles de tailles,
notre lit conjugale.
sous les draps bleu,
remplie de liquide amniotique,
puis les couleurs n'avait plus d'importance à mes yeux,
dès lorsqu'il a été trempé de mes pleures,
de tes pleures,
de mon sang,
comme du tient,
de ces papiers et ces fichiers jusque là fermeture close de cette pièce.
la maison résonnait de nos cries incessant chaque jours,
comme chaque nuit.
Et peu importe les cries.
Peu importe leur signification.
Il prouvait notre amour, mais aussi notre détestable sentiment.
Je te déteste parce que je t'aime.
on a trop patienter,
on s'est serré trop fort,
on s'est pleurée.
..mais je te demande pardon.
Il fallait que je te demande pardon,
que l'ont lâche prise.
Tu m'as tuée.
Je t'ai achevée.
On s'est amoché,
on peut ce détester.
l'amour n'a pas d'âge, pas de prix, pas de vie et pas de limite.
Mais l'amour à une condition.
Qu'il ne s'éternise jamais,
malgré la situation.
Sauf que le notre était sous les couleurs de l'arc-en-ciel.
..comme quelqu'un de saoulé,
la vérité est clair, il n'agit qu'en dysfonctionnement de lui-même.
Pourtant qu'importe il est conscient de ces actes.
Comme cette bouteille posée au milieu de notre table, dans laquelle tu bois après moi..
on ne s'est jamais demandé ce qui s'y trouvait à l'intérieur.
mais étant consciente que tu ne l'a buvais que parce que j'y avais posé mes lèvres,
et bien je l'a reprenait pour sentir le goût des tiennes.
Trop d'égo pour te toucher,
trop d'égo pour me lasser,
trop d'égo pour te laisser,
mais jamais trop assez pour te détester.
M'as-tu ensorcelé ?
M'as-tu droguer ?
M'as-tu obnubilé ?
Ou m'as-tu rendue ivre ?
Ivre d'amour..
𝖣-𝖣.