Ô, petite chose insignifiante,
Parée de ton cher sourire,
Tu attires tous les regards.
Derrière ta vitrine,
Cage impénétrable,
Tu défies quiconque s'approchant,
De caresser ton corps gelé.Ô, petite chose prétentieuse,
Armée de tes yeux doux,
Juges impitoyables,
Tu attires tous les regards.
Derrière ton petit visage pâle,
Tu defie quiconque t'approchant,
De désirer ton corps glacé.Ô, petite chose si fragile,
Ton charmant rire moqueur,
Tu l'oublieras bientôt.Tes lèvres, ô tes douces lèvres,
Sous la chaleur de mon cutter,
Ta muette douleur.
Le visage figé par ta peine,
Tout ira bien,
Alors frappe moi.Tes yeux, superbes et sublimes,
émeraudes scintillants,
illuminé par les larmes,
S'écouleront de ta joue à ta poitrine,
Croisant mes doigts sur ton corps fin.
Tout ira bien,
Alors frappe moi.Ô, petite poupée de cristal,
Je le jure,
Tu seras mienne,
Et tout ira bien,
Alors frappe moi maintenant.Mes baisers te réveillant,
Cette illusion t'hypnotisant,
Brisé par un diamant.
Ta beauté abyssale,
Perdu dans les flammes,
Et nos reflets calcinés,
Tout va bien,
Alors frappe moi une dernière fois.