L'art de la séduction n'est pas le plus facile surtout pour le jeune garçon qu'est Katsuki Bakugo. Tomber amoureux de la fille qui a réussi à scorer un infini au test physique, c'est gênant surtout quand tu es le grand Katsuki Bakugo, roi des roi de...
Ochaco:...mais.. je l'aime bien moi. Même si il est ronchon, il doit avoir un bon fond...non ? Et puis niveaux physique, il faut vraiment pas se plaindre !
Akemi: Tu te rends bien compte que c'est une tsundere réincarnée en mec pas doué ? En plus c'est un malade mental !!
O: Comment ça "malade mental "?
A: Qui poursuit une pauvre livreuse de pizza jusqu'à la plage ?!
O: Un garçon très attentionné qui veut l'accompagner jusque chez car il est tard....peut-être?
Ça y est on l'a perdue. Elle est tombée dans les ténèbres de l'amour. Je décida que je n'avais plus d'énergie pour m'occuper de ce ballon baudruche naif qu'est ma soeur et j'alla préparer les bentos pour la seconde journée d'école à venir. Mais en ouvrant le frigo je retomba directement sur terre, il n'y avais presque rien. Je soupira et chercha dans toutes les armoires de la maison suffisamment d'ingrédient pour cuisiner notre futur casse-croute.
Pour finir, il n'y avait toujours pas assez et Akemi devait partir faire des courses avec son argent de poche, autrement dit ses économies et franchement, il n'y avait pas grand chose. Entre les dettes de la maison, les taxes de la société que ses parents tiennent, l'électricité, le gaz et l'eau il ne reste quasiment rien des salaires que la jeune séductrice gagnait.
En entrant dans le combini, elle salua le cassier qui était son ancien collègue.(Elle avait été virée la semaine dernière parce qu'elle prenait sans payer les plats traiteurs une minute après la date de péremption en disant qu'il étaient de tout façon périmé). Akemi attrapa des nouilles instantanées malgré le regard insistant de son ex-patron et paya. Et, alors qu'elle allait sortir elle retourna fit une courbette devant l'homme ne la quittant pas des yeux, attrapa une barre chocolatée avant d'activer son alter.
A: Si cela ne vous dérange pas sale conchon, je vous emprunte une petite sucrerie. Dit-elle d'une voix douce et mielleuse.
- O-oh non faites vous plaisir. Dit-il en rougissant comme une adolescente en chaleur, pathétique. Sans un mots de plus, elle partit retrouver sa famille, dégoutée d'elle même.
Le lendemain, alors qu'elle prenait le chemin de l'école avec sa soeur, elle se sentit exténuée. Il faut dire qu'elle n'avait pas l'habitude d'utiliser son alter de séduction et celui-ci avait tendance à dérégler son taux d'hormones, alors Akemi était particulièrement de mauvaise humeur. Elle abandonna, encore une fois, sa soeur pour échapper à ses paroles inutiles de celle-ci, planta ses écouteurs dans ses oreilles et prit un autre tournant vers le café le plus proche.
Une fois arrivée, Elle s'installa à une table ( oui pas de virus chiant dans mon histoire ) et commanda le café le plus fort de l'établissement accompagné d'un croissant. Si vous vous posez la question, oui elle brosse les cours, oui elle sait que c'est pas bien, et elle s'en contre fiche car elle travaille mieux seule qu'en classe. Elle savait aussi qu'elle aurait des engueulades avec ses parents et elle aurait sûrement une voir deux retenues au passage.
Sa commande arriva, elle remercia le serveur et savoura cet instant de calme avant qu'elle ne sentent un regard dans son dos. Soudainement, elle entendit plusieurs pas s'approcher d'elle. Lorsqu'ils s'arrêtèrent elle tourna la tête vers eux et Akemi fut surprise de voir que c'était ses anciennes camarades de classe, celles qui se moquaient d'elles pour son choix scolaire ou encore son status social. Une d'elles commença: « Bah ça alors ! notre très chère Uraraka a réussi à rentrer à Yuei ! Félicitation la pute ! »Le reste rigola. Akemi les ignorait mais elles continuaient à faire des remarques, parfois la pousser pour avoir une réaction de sa part. Jusqu'à ce qu'un blondinet les approches: « Dites les filles ça vous dérangerait pas de laisser ma petite amie en paix ? » Elles rougirent comme une flamme qui venait d'être allumée: « E-euh oui pas de problème.. » dit-une d'elle en partant, les autres suivirent en chuchotant.
Il se retourna vers moi et dit: « P-pardon j'ai pas pu m'en empêcher...Je m'appelle Denki, Denki Kaminari ravis de faire ta connaissance euh ? » « Akemi, Akemi Uraraka de mê-» « Uraraka ?! genre comme Ochaco Uraraka ?! »s'écria-t-il, et avant même que j'ai le temps de répondre Denki se retourna et fixa une table avec un groupe d'adolescent assis autour avant de s'écrier « JE l'ai trouvé JE gagne donc 1200yens ( 9,50euros) hehe » la table entière râla et tendit l'argent. Je les regarda sans un mot, bouche bée. Kaminari avait l'uniforme de Yuei et un éclair dans les cheveux c'est étrange, d'ailleurs la table d'adolescents, qui sont je suppose ses amis, sont tout aussi étranges...Il y a une fille à la peau rose, un garçon aux cheveux rouges et un autre garçon avec des... coudes bizarres.
Kaminari me proposa de venir avec eux mais je déclina l'offre me retournant vers ma commande, Kaminari partit mais il revint avec ses amis et leurs chaises en main. « Tu voulais pas venir à nous mais on est venu à toi ! J'espère que ça te dérange pas trop... » dit la fille à la peau rose et depuis des années que je ne l'avait pas fait; je ris, pour de vrai.
Et puis j'ai pleuré...
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Heyooo ! Je suis de retour ! J'espère que vous avez apprécier ce chapitre. Et pardon pour le changement de style d'écriture, je teste deux ou trois trucs pour voir lequel me plait le plus. Ah et j'ai un petit cadeau pour vous !
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