[VF] : Trafalgar Law x Reader.

Vérité.

???: Réveillée ?

Je frottais doucement mes yeux et serra les dents pour ne pas hurler à cause de la douleur atroce qui embrasait mon bras.

Je relevais les yeux, je voyais flou mais j'aperçu le chirurgien de la mort en face de moi, assis contre le mur à l'opposé.

Law : alors.. (t/p) *souris sadiquement* que faisais-tu donc à Marine Ford ?

Je baissais les yeux et ne répondit rien.

Law : Perdue ta langue ?

J'agrippai la poignée de la porte avec mon bras non blessé et hissa mon corps contre la porte afin de me relever.

Law : tes bandages sont bien grossiers, continue de bouger tu ne finiras pas ce trajet en sous-marin.

(t/p) : Tch.. Peu importe.

Law : Madame est têtue, je pensais t'avoir dit que personne n'y passera tant que je serais sur ce navire.

Il s'approcha de moi je ne pus me débattre, il déboutonna ce qu'il restait de ma chemise me laissant en brassière. Mes larmes coulèrent, elles n'arrêtaient pas de couler.

Law : Je ne te veux pas de mal, laisse-moi faire.

(t/p) : Pourquoi tu fais ça, tu sais qui je suis pourtant non ?

Law : c'est bien pour ça que je ne peux me permettre de te laisser mourir ici, tu as rejoint l'équipage de Barbe Blanche non ? Maintenant qu'il est dissous que vas-tu faire, errer seule sur le Shin Sekai ?

(t/p) : ...

Law : Je voulais ce fruit pour un membre de mon équipage, le Feza Feza no mi, même si je te tuais maintenant il me faudrait parcourir le monde pour le retrouver et des rumeurs que j'ai entendues tu as l'air de le maîtriser mieux que personne.

(t/p) : c'est donc pour ça .. si j'ai bien compris tu veux que je rejoigne ton équipage. Après ce que tu m'as fait, tu es bien naïf.

Law : (t/p) je sais que tu souffrais dans cet équipage et qu'il traitait ses subordonnés comme des esclaves.

(t/p) : c'était ma seule famille, Law, tu as tué mon père.

Law : il ne te considérait même plus comme sa fille, tu es resté sous la pression, sais-tu seulement pourquoi on le surnommait Amon le sanglant, (t/p)?

(t/p) : il a massacré des dizaines d'équipages pirates.

Law rigola.

Law : Non, n'as-tu jamais songé à vérifier si ce qu'il te disait était vrai ? Dit-il en sortant un papier journal de derrière son dos.

Je le saisis d'une main.

Law : il a violé et tué des centaines de femmes atrocement, dont ta mère.

Je lisais lentement le journal, tremblant à chaque mot, j'essayais tant bien que mal de retenir les larmes qui menaçait de venir s'écraser sur le papier encré.

Mon faible corps fut automatiquement vidé de toutes ses forces et m'attendant à heurter le sol j'heurta le torse doux et chaud du chirurgien.