Chapitre 7: il y avait un choix?

1 0 0
                                    

Ses yeux semblent avoir changés je crois que la seconde après avoir reconnu sa voix j'étais paralysée je ne pouvais penser à quoi que ce soit. Mais je m'étais déjà abandonnée à la torture sur qui m'attendrais.

-Mais non je vois la peur dans tes yeux. Ne t'inquiète pas Je ne veux pas te faire du mal et appelle moi moi Destin je te pris. Disons que c'est une longue histoire mais que je viens de te soigner.

-Comment ? Fut le seul mot qui arriva à franchir la barrière de mes lèvres.

-Parlons franchement. Je te veux. Et il va arriver que tu ai besoin de moi pour éviter d'avoir vertiges ou évidemment de tomber dans le coma. pourquoi avoir si peur promis je ne ferais rien de plus et je ne ferais rien contre ta volontée. Si tu viens a temps je n'aurais pas à utiliser mes pouvoirs et il te suffira d'un baiser pour aller mieux. Je crois savoir que c'est peux payer pour pouvoir rester ici.

-Je peux avoir un peu de temps pour y penser. Vous...

-Destin!

-Destin tu me propose quelque chose qui je l'avoue ne me tente pas. De plus tu dis ne pas vouloir me forcer mais je n'ai pas vraiment le choix si j'ai bien compris. est ce qu'il serait possible de faire un deal ou votre euh pardon ton sors serais à temps limité dans un temps relativement court.

-Avoir tant de courage de dire de si belle parole alors que tes pensées n'expriment pas la même déférence est courageux. Et j'avoue adorer ta voix tremblante. je te propose que ce sort dure disons un ans de cette planète. je sais que tu as déjà vécu plus long grâce à mon confrère. Et tu sais que tu n'est pas en place de négocier.

-Un ans d'ici nous sommes bien d'accord. Serait-il possible de signer un pacte de sang disons que ma confiance reste limité.

-aucun problème.

Nous signâmes donc un contrat ne m'obligeant en rien avec une durée arrêtée. 'en était heureuse puisque je me savais assez forte pour contrer les efforts du sort. Il me faudrait aller revoir le père noël pour avoir plus d'informations.

Après les retrouvaille avec Diego s'arrêtant à un long et doux baiser.

Et je couru lui demander.

-Salut!

-Bonjour Maya, alors tu as quelques différents avec Destin.

-Euh oui j'aimerais en savoir plus s'il te plaît sur le sort qui pèse sur moi.

-Tu sais que je suis le deuxième dieux primordial. Surement le principal. Donc je t'en supplie arrête de m'appeler père noël c'est assez humiliant.

-Ce n'est pas vrai. Oh la vache! Du coup comment dois-je vous appeler ?

-Déjà autrement que la vache ce serait agréable. Beaucoup me nomment l'être tu peut utiliser cette appellation. Que vas tu bien pouvoir me donner contre cette information.

-La dernière fois il n'y avait pas eu de prix particulier à payer. pourquoi cette fois si ?

-En est tu sure?

-Que me demandez-vous cette fois? Me m'étaient souvenue de tous les malheurs qui avaient suivis. Etant donné qu'il est un dieu il a pu gérer une partie de ma vie. J'ai besoin de cette information immédiatement je ne peux pas m'en passer.

-Laisse moi quelques seconde pour choisir. Hum je sais. A tu déjà donné ton sang ?

-Hum non en temps que reine des vampire je ne donne pas mon sang.

-D'accord alors je te prendrais un peu de ton sang car il a l'air délicieux.

-Marché conclu.

-Destin te veux et ce sort sera dans tous les cas trop puissant pour toi que ce soit en résistant ou en le contrant avec tes propres pouvoirs. Disons qu'il est très fort pour lancer des sorts. et maintenant que tu nous connais tout les deux il est impossible pour moi de t'aider.

-Mais vous avez su ce qu'il m'a fait. Je ne pourrais pas surmonter cela.

-Ecoute le seul conseil que je peux te donner c'est d'apprécier le moment. De toute façon tu ne pourras pas y échapper tu as déjà été chanceuse de t'en sortir avec seulement un an.

-d'accord tu sais tout de même que je vais résister. Je ne peux pas faire autrement c'est ma nature.

-C'est ta nature reviens me voir quand tu veux.

Le temps passait et je n'avais aucun symptôme hormis une légère fatigue. Rien ne m'empêchant de vivre. J'avais prévenu qu'en dernier recours on devait m'amener à "Destin" Je n'arrive pas a m'habituer a ce prénom.

Au bout de plusieurs semaine, je me sentais épuisée mais je me refusais à aller le voir de mon plein gré ce serait trop humiliant. En même temps je ne voulais pas que Diego soit au courant. C'était ainsi. Je devais trouver une solution rapidement.

Un jour je suis tombée dans la rue et cela m'a décidée à y aller. Il était hors de question que l'on me pense faible à cause de ce sort.

C'est ainsi que j'utilisais pour la première fois la téléportation vers une personne. Pour cela il suffit de penser à un lieu proche d'elle. De plus c'était le seul moyen de le joindre.

J'essayais le plus possible de ne pas montrer ma peur car je ne devais en avoir aucune. J'étais totalement fière de moi. Un baiser et tout irait mieux. Je n'avais même pas besoin d'aimer ce qu'il se passait. je veux que ça aille le plus vite possible. malheureusement pour moi certainement dès que je posais mes lèvres sur les siennes elles avaient un goût de paradis avec une texture de nuage d'arc-en-ciel. Je ne m'attendais pas à une sensation si merveilleuse. Il fallait que je me sorte de là. Encore une fois mon corps est aussi impulsif que mon esprit et encore pire pour cette fois. En effet à peine j'avais pensée que je devait au plus vite m'éloigner que mes bras s'accrochaient à son cou. Mon corps avait besoin de plus de contact. Il était chaud et il semblait que une fois collé nous ne faisions qu'un malgré la couche de vêtement. Il mis fin au baiser. J'avais bien plus aimé que je l'aurais dû et depuis longtemps je m'étais sentie complète comme si j'avais retrouvée ma famille. Je soupirais, je n'avais pas de famille.

-Maya toi pas de famille, c'est une blague. Ses yeux semblaient reluire.

-Oui moi. J'ai perdu mon grand père et Diego ne fait pas partie de ma famille, heureusement.

-Je suis désolé mais tu peux demander à l'être mais tu as un père et une mère dont un est vivant. On est tous au courant. Tu ne vas pas bien tu es toute pâle.

-Une famille. j'ai une famille. Mais. Tu veux dire que Diego le sais. Je vais le tuer. 

séparée en deux : faut il encore espérerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant