Chapitre 97

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Le lendemain matin les deux amants ne petit-déjeunèrent pas, l'angoisse nouait leurs estomacs. Lucy mit une jupe serrer noir avec un tour de taille élastique, une chemise blanche, un veston allant avec sa jupe et des escarpins noir. Ses cheveux était coiffé en chignon. Natsu lui n'avait rien fait de particulier, une chemise noir déboutonné en haut, un pantalon assorti et des chaussures noir. Celui ci se tourna vers sa compagne qui tirait une fois de plus sur son veston fermer. Elle était devant le miroir et essayait certainement de cacher du mieux possible son ventre qui ne se voyait pas encore mais têtu comme une mule elle était persuadé qu'il se voyait.

- Tch' ! manager on ne voit rien ! intervenu le jeune homme
- Tu es sur... Je me sens un peu à l'étroit... renchérie celle ci
- Dépêche toi et prend quelque chose à manger sinon tu vas tomber dans les pommes, j'ai pas envie de te porter comme un gosse jusqu'au tribunal.

Sur ce, il sortit de la chambre a coucher. La jeune femme se regarda une nouvelle fois dans le miroir avant de descendre dans la cuisine pour prendre un choux à la crème qu'elle ne savoura pas complètement tellement elle était angoisser pour le procès. Natsu se plaça dans l'entré de la cuisine pour lui dire qu'ils devaient y aller. Tout deux entrèrent dans la voiture de sport noir, Natsu les conduisit jusqu'au tribunal où ils entrèrent avant d'aller s'asseoir dans un grand couloir. Pendant quelques minutes les seuls bruits dans la salle immense furent les bulles de chewing gum que Natsu faisait éclater pour noyer sa rage et son trac. Lucy elle était collé à son capitaine, morte de peur, ses yeux grand ouvert ne clignèrent pas une seule fois tendit que son corps en entier tremblait légèrement. Un homme habiller en smoking noir arriva, il était brun avec des yeux bleu et une cicatrice en forme de croix sur le côté. C'était Mest Glider , l'avocat de Lucy et Natsu. Normalement un avocat ne peut défendre qu'un seul client mais celui ci avait insisté personnellement pour les représenter tout les deux afin que sa cliente ne se sente pas seule, il avait comprit que si le jeune couple avait deux avocats c'était comme si ils n'étaient plus ensemble et que cela démoralisait la blonde.
L'homme parla d'une voix rassurante et posé.

- Jeunes gens ils est temps de rentrer.

Le couple se leva lentement, sans grande motivation, et suivi le brun jusque dans une salle. A peine entré Lucy sentit sa présence. Même les yeux rivé au sol elle pouvait sentir son regard répugnant se poser sur elle, elle sentait son aura sombre, meurtrière, dépravé et malsaine rependu dans toute la petite salle. Elle se stoppa net, paralysé par la terreur, l'horreur. Ses yeux sortirent de leurs orbites, son corps entier commença à se convulser et son ventre se tordit dans tout les sens, lui donnant envie de vomir. Le "voile" qui avait été mit par dessus ses souvenirs se retira brusquement et douloureusement. En une fraction de seconde elle revue la semaine la plus effroyable qu'elle est connu, chaque détails, chaque paroles lui revint en mémoire ainsi que le jour où il a faillit la renvoyer au paradis. Ses jambes commencèrent à défaillir lorsqu'elle se sentie attirer contre un torse puissant et rassurant. Sans prendre le temps de réfléchir elle s'y agrippa comme une bouée de sauvetage en tremblant de tout ses membres et en attelant de manière sauvage et saccadé.
A ce moment la seule chose qu'elle voulait, c'était mourir.
Natsu la serra dans ses bras, il ne pouvait faire que ça de toute manière, hors de question de la faire sortir, elle ne voudrait plus rentrer après. Il avança avec sa compagne à petit pas vers le devant de la petite pièce pour aller s'asseoir avec leur avocat sur le banc de droite en face du juge. Sur le banc de gauche se trouvait Zancrow, entourer de forces de l'ordre, de militaires et de policiers. Il avait une attelle sur sont bras droit. La juge présenta l'affaire avec diverse preuves, puis se fut le tour des témoins.

- Mademoiselle Heartfilia est appeler à la barre.

Zancrow sourit avec toute la perversité dont il était capable tendit que la jeune femme terrorisé alla s'asseoir à la barre, près du juge, avec l'aide de son avocat. Celui de Zancrow se leva et observa la pauvre jeune fille, il savait qu'elle était une terrible victime mais il était commit d'office, il était obliger de défendre le joueur des Grimoire Heart. Il commença sont interrogatoire, il parla doucement pour évité une crise total de panique de la part de la petite manager.

- Mademoiselle vous rappelez vous de ce qu'il c'est passé ?

Elle ferma le yeux et hocha difficilement la tête, en larmes. Elle voulait se réfugier dans les bras de son amant et partir loin d'ici, loin de lui. Mais malheureusement pour elle le procès était loin d'être terminer.

- Êtes-vous sûr que c'était mon client qui a profiter de vous ?

Elle ouvrit la bouche dans but de parler mais aucun son ne sortit de sa bouche tremblante.

- Mademoiselle ?

Un ricanement rauque et morbide retentit dans la pièce, tous à par la petite manager se tournèrent vers Zancrow qui la regardait avec convoitise et folie pure. Il se lécha les lèvres avant prendre la parole.

- Bah alors Lucy chérie, on a perdu sa langue ? Hun hun hun !
- La ferme ! ordonna un général de l'armé
- Faite la sortir ! ordonna la juge en remarquant la panique total de la jeune fille.

L'avocat de la blonde se leva et la porta littéralement pour la sortir en urgence car elle suffoquait de panique. Natsu la regarda disparaître derrière la porte avec inquiétude avant de se tourner rageusement vers le joueur de foot en brûlant de frénésie.

- Monsieur Dragneel est appelé à la barre.

Il se leva nonchalamment et alla s'asseoir à la place de sa compagne, les mains dans les poches. L'avocat de Zancrow commença à l'interroger.

- Comment avez-vous sut ce qui ce tramais ?
- C'est elle qui me la dit tien ! Je suis pas devin !
- Vous a t-elle bien dit que mon client était le coupable ?
- Pensez-vous réellement qu'on en serait là aujourd'hui pour le plaisir ? demanda sombrement le capitaine.

L'homme passa un doigt tremblant derrière sa cravate pour la desserrer un peu avec angoisse.

- Je.. n'ai pas d'autre question...

Mon démoniaque capitaine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant