Mon démoniaque capitaine

Chapitre 129

Happy était sur le lit de la futur maman, couché à ses pieds il dormait paisiblement. Il avait fait un crochet au domicile de la blonde pour apporter le sac de son maître qui contenait son ordinateur. Lorsqu'il le lui avait donné un bout de tissu blanc était entre ses dents, prouvant qu'il avait attaqué quelqu'un, ce tissu était en coton et provenait d'une blouse, comme celle des scientifiques. C'est enfoiré avaient encore fait une fouille mais heureusement Happy était intelligent et avait prit le dossier médical de Lucy.
Natsu était donc assit sur une chaise à côté de sa compagne pour écrire sur son ordinateur, quelques nom passèrent l'entrave des ses lèvres fine, les soufflants avec véhémence.

- Minerva Orlando... Frea Corona... Jenny Realight... Lisanna Strauss...Cherry Brendy... Ever Green... Risley Law...Alanya Web... Meldy Tros... Miliana Cat...

Il leva les yeux vers la jeune femme, pendant son sommeil elle avait grimacé à l'entende de ses prénoms certainement qu'elle savait que c'était elles qui l'avaient agressé. Il regarda de nouveau les photos des onze jeunes filles avec une folie enflammé qui dansait dans ses prunelles.

- Si vous cherchez le démon vous allez trouver l'enfer...

Un large sourire sadique et démoniaque s'afficha sur son visage tendis qu'il ricanait en pianotant sur son ordinateur.

Minerva Orlando, jeune fille de dix-sept ans, élève en troisième année a Fairy. Elle avait déjà postuler pour être une pom-pom girl de l'équipe, en tant que présidente du fan club de Natsu elle se devait être plus proche de lui. Seulement il a refusé qu'elle entre dans son équipe, personne ne sait pourquoi. La jeune fille c'était dit que sa manière d'être distant avec les autres était sa façon de leur dire qu'il les aimait.

- Il est peut-être amoureux de moi ! pensa t-elle heureuse.

Ah si seulement elle aurait aussi put avoir le poste de manager ! Elle aurait été encore plus proche de lui, travailler chaque soir à ses côtés, inspirer son parfum et sentir la chaleur de son corps... La brune s'en mordit la lèvre inférieur d'envie.
Minerva... Vous vous demandez certainement, elle a agressé un professeur ! Elle devrait pas être au tribunal ? Et bien si, tribunal des mineurs mais avec un très bonne avocat elle s'en était sortit avec simplement des travaux d'intérêt général. Elle restait donc tard le soir non seulement pour son club de fan mais aussi pour nettoyer l'école avec le concierge. Le jour où on lui a demandé d'aller passer le balais dans les vestiaires de football elle crue devenir folle, la manager étant déjà passer elle avait simplement profité de prendre le maillot de Natsu pour inspirer son odeur diabolique. Elle avait même réussi à prendre une de ses armes pour aduler l'objet avec son club de fan. Elle était la fondatrice du club, seule deux filles avaient osé la rejoindre discrètement, tout les mercredi elles se retrouvaient pour envoyer une lettre à leur démon préféré. Puis lorsque l'équipe des Fées gagna le premier match plusieurs autre jeunes filles de première, deuxième et troisième année avaient rejoint le groupe. Elles étaient une bonne vingtaine et se retrouvaient deux fois par semaine, le mercredi et le samedi ainsi qu'à tout les entraînements. Toute sans exception avaient leurs jours et leurs nuits hanté par le démon que chérissait leurs cœurs. La brune avait de la famille qui avait emménager au États -Unis, elle voulait y aller pour entré a Princeton pour être chef d'une équipe de Cheersleader elle avait fait tout les tests et la réponse était aujourd'hui. Ce qu'elle ne savait pas c'est que le démon avait décidé de lui pourrir la vie, elle allait connaître l'enfer pur et dur. Le matin même alors qu'elle nettoyait une vitre dans le lycée elle vit Natsu en bas, un étage en dessous, alors elle le regarda, profitant de chaque seconde pour se rincé l'œil. Lorsqu'il se tourna vers elle il la regarda aussi noir qu'il le put, la faisant frissonner puis il lui fit un large sourire démoniaque qui ne prévoyait rien de bon mais la jeune fille n'y fit pas vraiment attention, elle se dit juste qu'il était incroyablement beau. La brune le regarda partir puis termina de lavé la vitre, lorsqu'elle prit le produit elle appuya sur la détente pour asperger la vitre de lotion mais un liquide pâteux et noir s'étala sur toute la surface. Il sécha à vue d'œil alors elle se dépêcha d'essuyer mais cela ne fit que recouvrir la vitre de noir. Elle paniqua et regarda le produit, rien, puis son regard tomba sur deux pots plus a côté, elle les prit.

- Peinture noire extérieur, durabilité garantie deux ans !
- Colle extra forte.

Elle venait de détruire une vitre... Le concierge arriva et la surprit avec les deux pots dans les mains, il regarda la vitre et hurla.

- HAAAAA ! Mais qu'est-ce que tu as fait !
- M..mais c'est pas moi !
- Vient par la jeune fille ! On va en parler au directeur !
- Je vous en prit non ! J'ai rien fait !

Il lui prit le bras et l'emporta de force avec lui jusqu'au directeur. Le concierge chauve posa les deux pots sur le bureau de celui ci.

- J'ai surprit mademoiselle Orlando a étalé cela sur les vitres !
- Mademoiselle je suis surprit que vous fassiez encore des bêtises.
- Mais c'est pas moi monsieur ! Croyez moi je suis sûr que quelqu'un a fait un coup monté !
- Vos travaux devraient s'arrêter dans deux semaines mais vous resterez en colle jusqu'à dix-huit heure minimum chaque jour pour les continuer et cela jusqu'à la fin de l'année. Je noterais cela dans votre dossier aujourd'hui !
- Quoi ?! Non pas dans mon dossier ! Je doit aller a Princeton après !
- C'est bien d'être jolie mais il faut être intelligente aussi ! Sortez ! Et nettoyez moi ce que vous avez fait !
- Bien monsieur... répondit Minerva les larmes aux yeux.

Elle soupira en sortant, rien ne pouvait lui arriver de pire... Elle nettoya comme elle put mais rien ne partait. La colle certainement. Elle sortit pour manger mais lorsqu'elle alla à son casier elle le découvrit éventré, quelqu'un lui avait volé son bento et ses cahiers. Elle sentit de la fumer alors elle alla voir dehors et vit quelque chose brûler sur le béton, elle courra et essaya de l'éteindre.

- Merde mes cahiers !

Pendant qu'elle gesticulait dans tout les sens pour éteindre le feu un jeune homme la regardait au loin avec des jumelles. Il ricana sadiquement.

- hahahah ! Et c'est pas fini !

Il ouvrit le bento de la jeune fille et commença a manger. A peine il en prit une boucher qu'il regarda la boîte en grimaçant, c'était nettement plus fade par apport aux bon petit plat de sa petite-amie. Il jeta la boîte derrière lui.

- Tch' ! C'est dégueulasse !

Il partit. La jeune fille arriva à éteindre le feu et contempla ses notes carbonisé.

- Oh non comment je vais passer mon diplôme...

Elle rentra donc chez elle, le moral à zéro.

- Ah tu es rentré !
- Bonjours maman... soupira t-elle
- Princeton a appelé.
- Vraiment ! Qu'on t-ils dit ? s'impatienta sa fille avec enthousiasme
- Ils ont dit que tu es décevante, que tu n'étais qu'une délinquante qui ne penserait à rien d'autre que ça propre personne. Ils ne t-on pas accepter ! Tout ça car tu as agressé un de tes professeurs ! répondit sa mère avec colère, ses yeux foudroyant sa progéniture
- Non...

Elle vit son rêve partir en fumé, tout était réduit à néant, elle était tomber en enfer.

- Je t'es inscrite à l'avance dans un pensionna de redressement.
- Quoi ?! Tu n'as pas le droit !
- Je suis ta mère j'ai tout les droits ! Ta vie s'échoue ma fille ! Je me doit de faire certaine chose pour ton bien ! Maintenant monte dans ta chambre et n'y bouge plus !

Elle monta les escaliers et alla dans sa chambre. Elle claqua la porte et se jeta sur son lit pour pleurer à chaude larme. Elle n'était plus en enfer, elle était au fond de la fausse infernal emplit de larmes, de hurlement de désespoir et de lave qui lui brûlait doucement la peau.