chapitre 54

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L'eau était entrain de cascader sur le long de mon corps, un sourire illumina mon visage au moment où je le vis entrer dans la douche. Oliver s'approche de moi et prends mes lèvres alors que ses mains étaient en train de balader le long de mon corps. Je lâche ses lèvres avant de tourner la tête et de nulle part Caleb qui prends mes lèvres.

Je me réveille en sursautant, la première chose que j'ai fait lorsque j'avais les yeux ouverts la première chose que je fais c'était de regarder à côté de moi, le lit était vide, la porte était entrouverte, et l'odeur de café empestait la pièce. Je m'assois sur le lit tout en regardant mes vêtements éparpillés autour de la petite pièce me fit penser à ce qui s'était passé la nuit dernière.

Merde! J'ai couché avec lui, c'était juste une histoire d'un soir. C'était rien du tout... je n'ai aucune idée de l'heure, je dois aller au bureau... merde ! Je saute du lit, avec la couverture contre mon corps. J'essayais de chercher mes sous-vêtements dans la pièce quand la porte s'ouvre sur Caleb en caleçon. Je ne suis plus surprise par ses abs, je les avais sous les yeux durant toute la soirée.

-Bonjour.

-Bonjour, dis je en ramassant mes affaires sur le sol.Je vais m'habiller.

Je rentre dans la salle de bain juste à côté, cinq minutes plus tard j'en ressors habillée prête à partir.J'étais en train d'arranger mes cheveux en un chignon quand je le vois entrain de faire des œufs, il me tend une tasse de café tout en disant:

-Je n'ai pas d'appareil pour faire le café, mais j'ai regardé cette vidéo sur YouTube qui montre comment faire un café comme un vrai cow-boy.

-Je dois partir, dis je en prenant mon sac.

-Tu es sure que tu ne veux pas déjeuner.

-On a juste couché ensemble, c'était rien du tout. Tu n'as pas à me préparer le petit déjeuner. Je m'en fiche de ton café, je dois rentrer.

J'ai attrapé ma veste, déverrouille la porte seulement pour trouver 2 gardes du corps debout devant la porte. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils soient là, je pensais d'avoir dit à Jimmy que je voulais être seule ce soir.

-Qu'est ce que vous regardez? Demandais-je en donnant mon sac à l'un d'entre eux.

Culpabilité, c'est tout ce que je pouvais ressentir après tout ce qui se passait. Pourquoi ne suis je pas rester pour prendre le petit déjeuner avec lui? ou accepter le café? C'est mon instinct qui est entrain de créer une sorte de forteresse. Pourquoi est ce matin, j'ai l'impression de tromper Oliver ce matin lorsque je me suis réveillée ce matin.

-Je déteste faire le slut-shame, on dirait que tu reviens juste de ton truc.

Moi qui voulait juste rentrer sans me faire repéré, Liam est la dernière personne que je veux voir.

-Où est ce que t'étais ?

-Liam la ferme, laisse moi tranquille. Tu n'as pas des devoirs ?

J'étais prête à monter l'escalier, quand il décide de me bloquer le chemin, j'allais marché vers l'autre escalier, mais c'est trop de chemin. Je n'ai qu'à me tenir debout devant lui et prétendre que je suis intéressée à écouter ce qu'il a à me dire.

-Je travaille sur un script et je me disais si je peux utiliser la maison de Windsor. Je peux utiliser le lac comme inspiration.

-Je ne peux pas croire que tu m'arrêtes pour me demander ça. Bien sûr, tu peux l'utiliser. Je m'en fous.

~

J'étais debout sur le balcon avec une coupe de champagne en train de regarder tout le monde, cette fête est boiteuse comme je l'avais prédit. La seule chose qui était bonne c'est ce génie de l'apprentissage automatique qui m'a convaincu d'investir dans son entreprise. Je ne pouvais pas arrêter de penser à Caleb, je suis une personne si froide, je ne peux pas m'en empêcher. J'ai continué à me torturer, encore et encore, pensant que j'aurais dû accepter le café.

Soudainement j'ai eu cette idée, j'ai commencé à descendre les escaliers, à traverser la cuisine où les serveurs venaient et sortaient. J'ai commencé à chercher sur toutes les armoires, que je peux juste pour trouver une machine à café. J'ai commencé à chercher sur toutes les armoires, que je peux juste pour trouver ce que je cherchais. William sort de nul part pour interférer dans ma recherche, si quelqu'un sait où est ce que je cherche, c'est lui.

-Qu'est ce que tu cherches ?

-La machine a café.

-tu veux du café ? Dit il en pointant vers la machine qui se trouvait vers le comptoir.

-Non je veux la machine, dis je en essayant de la déconnecter. C'est un cadeau pour quelqu'un.

-il ya une nouvelle au sous sol, tu ne la veux pas de préférence ?

-Vraiment William? Tu ne pouvais pas commencer par ça ?

Quelques minutes plus tard j'étais devant cette même porte, mais cette fois j'y étais avec des cadeaux. Je frappe à la porte attendant à ce que la porte s'ouvre au moment où j'allais m'en aller quand la porte s'ouvre. Maintenant c'est le moment que je rectifie mon erreur.

-Je suis désolée pour ce matin. Comme tu m'as dit que tu n'avais pas de machine à café, je t'en ai apporté un pour qu'on puisse prendre ce fameux café.

Il ouvre grand la porte pour me laisser rentrer et à ce moment je remarque ses valises. Je ne m'attendais pas à ça, je dépose la boite par terre, avant de lui demander:

-Tu pars ?

-mon père est entrain de m'harceler, je ne pense pas que j'ai le choix.

-je croyais que tu faisais ce que tu voulais? si par hasard tu n'as pas de machine à café à new york, tu n'as qu'à transporter celui ci. Au revoir Caleb.

J'étais prête à me diriger vers la porte pour sortir quand il me demande:

-Est ce que tu veux que je reste ?

Je lève les yeux pour le regarder droit dans les yeux, avant de lui dire:

-J'ai une autre proposition pour toi. Est ce que tu veux m'accompagner au festival de Cannes? Tu peux avoir un autre chèque en blanc à encaisser quand tu veux.

Il s'approche de moi, pour me regarder droit dans les yeux, je m'attendais à ce qu'il dit non ou oui. Il a juste ajouter:

-Pourquoi est ce que tu ne me demandes pas comme une personne normale?

Normale, je ne fais pas normal... je n'ai pas vraiment quelque chose à perdre.

-Est ce que tu veux m'accompagner ?

-j'aimerais bien, répond-t-il.

A la fin de sa réponse, je souriais comme une idiote, je n'ai pas pu me pencher pour prendre ses lèvres...

Amour et passionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant