Chapitre 25 enquête

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Sherlock Holmes arriva devant la maison de la victime et enleva les gouttes d'eau de son chapeau.

– Ah! monsieur Holmes vous voilà! S'exclama le majordome en le laissant entrer.

– où sont monsieur et madame Winston? Demanda mon compagnon d'une voix dur.

– suivez-moi monsieur Holmes je vous en prie.

Ils arrivèrent dans une immense salle où se trouvait le couple en peine.

Mon compagnon prit place sur une chaise confortable de velours puis les invita à parler mais il évita de les regarder dans les yeux pour ne les effrayer à cause de ses yeux de chat gris qui devenaient rouge par moment.

– nous étions dans notre chambre quand nous avions entendu un hurlement inhumain qui venait de la chambre de notre fils. Expliqua Alice en pleure.

Sherlock Holmes réfléchit et lui dit:

– continuez madame.

– la porte de sa chambre était fermée à clé ce qui n'était pas normal car il l'a laisse toujours ouverte d'habitude.

– hmmm...et les fenêtres ?

– elles étaient verrouillée de l'intérieur monsieur Holmes.

– bien...

Le jeune hybride mit son index sur ses lèvres en pleine réflexion quand soudain il se leva et dit:

– j'aimerais voir la chambre de votre fils.

– bien sûr suivez-moi.

Ils allèrent jusqu'à la porte de la chambre et l'Inquisiteur leur dit:

– laissez-moi à présent.

Mon compagnon sonda la pièce avec ses sens magiques et il se dit à lui-même à voix haute:

– quelle mauvaise énergie !je vais régler ce problème.

Il fit apparaître un mandala vert et le laissa s'étendre dans la chambre.

Ensuite il regarda attentivement le lit et repéra des flaques de sang frais.

Il se passa une main sur ses cheveux noirs en réfléchissant profondément.

Ses yeux se posèrent sur le tapis rouge.

– hmm des traces de pas...

Ses oreilles pointues se rabattirent sur son crâne et retroussa les révélant ses longues canines pointues.

– je le savais cet humain n'est autre que Salazar!

Il se calma instanément et lissa ses cheveux rabattu en arrière grâce à du gel naturel.

Il retourna près du couple de la pauvre victime.

– alors monsieur Holmes vous avez une piste?

– je connais le meurtrier oui. Dit-il en le regardant avec intensité.

La jeune femme trembla de peur mais elle ne pleurait plus.

– je vous assure de le poursuivre jusqu'à ce qu'il se rende. Jura-t-il.

Voyant que le jeune hybride allait partir la jeune femme alla près de lui et prit les deux mains pour le remercier.

– Je vous en prie madame il est de mon devoir d'aider les autres.

– vous devez vraiment partir ?

– oui j'ai beaucoup de travail en ce moment pourquoi?

– ma fille a beaucoup entendu parlé de vous monsieur Holmes elle aimerait vous rencontrer.

Mon compagnon sonda l'esprit de la jeune fille qui était dans sa chambre en train d'écrire.

– elle est amoureuse de moi en vérité et elle aimerait sortir avec moi mais je suis désolé de la décevoir mais je suis déjà en couple.

– comment avez-vous su qu'elle était amoureuse de vous?

– je lis dans les pensées madame Winston.

– vous êtes très séduisant monsieur Holmes.Avoua la jeune femme,sous le charme.

– venant de vous ça m'étonne,la seule personne à me dire cela est ma compagne.

– À bientôt monsieur Holmes.

– À bientôt.

Mon compagnon retourna chez lui de très bonne humeur.

Il remarqua qu'il avait les mêmes ailes que moi ce qui le fit sourire,ils les fit battres pour les détendres.

– où est Kor'vas Watson? Demanda-t-il une fois à l'intérieur.

– votre compagne Holmes est rentrée chez elle pour dormir il est déjà très tard.

– merci.

– je vous en prie...alors cette enquête?

– je connais le meurtrier. C'est un humain qui vient de mon monde et celui de ma compagne.

– votre monde Holmes?Je ne comprend pas.

– mon ami je dois vous révéler quelque chose.Dit-il tristement Holmes.

– je suis tout ouïe.

– je suis un vampire ailé Watson.

John Watson resta un moment bouche bée mais il lui demanda quand même:

– mais alors vous avez les oreilles pointues?

– oui.

– pourquoi ne pas me l'avoir dit plus tôt Holmes?

Le jeune vampire s'entoura avec ses ailes et lui avoua en pleurant:

– j'avais peur que vous me chassiez Watson...

– allons mon ami ne dites pas ça jamais je ne vous chasserait sous prétexte que vous n'êtes pas humain.

Le jeune docteur n'avait encore jamais vu son ami dans un tel état de détresse alors il l'aida à se lever et le serra dans ses bras.

– j'ai soif Watson.

– que voulez-vous boire Holmes?

– du sang je dois chasser.

Les chroniques de l'anneau de sang Lune sanglanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant