Chapitre 11

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Pdv Emmett

Avec Andrea et Mila , nous étions désormais devant la porte d'entrée du hall. Dehors, il y'avait une de ses foules de journalistes, c'était limite flippant à voir , en même temps avec tout les dégâts que cause ses monstres c'était sur.

Je n'avais qu'une hâte c'était de sortir et respirer l'air frais. J'étais anormalement essoufflé et Andrea était très mal en point. Je sais que ce n'est pas le moment mais j'avoue que de la voir comme ça  avec sa robe sans doute hors de prix à moitié déchirée, ses cheveux décoiffés et ses pieds nus me faisait intérieurement rire. Elle prend tellement les gens de haut avec son petit air la, mais là au moins elle s'est battue. J'aurais pu l'aider toute à l'heure mais je voulais voir ce qu'elle avait dans le pantalon et c'était à ses risque et périls mais ça va elle se débrouille . Mais bon, je ne vois pas en quoi une fille de la haute qui ne sait rien faire à part profiter de l'argent de papa et maman peut « sauver cette ville».

— T'es prête à affronter les journalistes ? Demandait je à Andrea

Elle se recoiffa puis me regarde pour me dire :

— J'ai l'habitude

J'ouvre la porte et a peine fait qu'une foule de journalistes nous incendies de leur flash et de leurs questions. Immédiatement, je prend Mila et Andrea par le bras et j'essaye tant bien que mal d'esquiver les journalistes mais ils sont super nombreux. Ils sont super énervant.

Alors qu'on est toujours coincés , Andrea fait signe de main à un homme au loin. L'homme qui était grand et chauve s'approche de nous puis il attrape son bras et la tire. Mais qu'est-ce qu'il fait ?

Je commence à marcher plus vite et quand j'arrive à leur destination il me stoppe net.

— N'approchez pas monsieur.

Pardon ? Et puis quoi encore
J'essaye encore mais il me repousse violemment et ça commence à sérieusement m'énerver. Je sens mon sang bouillonné et je sais que j'ai un sale caractère de base mais là c'était anormal. J'avais une envie de lui retirer son cerveau puis de l'écraser avec mes poings, le piétiner comme de la bouillie , le massacré , le ...

— Emmett ! Cria Andrea

Immédiatement je reprends mes esprits et en la regardant elle soufflait de désespoir.

— Lui c'est Miguel , mon chauffeur et c'est moi qui l'ai appelé alors tu va te détendre. Monte

Je comprends mieux pourquoi elle était à l'aise avec. Quel con je peut être parfois. Je fusillait une dernière fois ce Miguel avant de monter dans cette grosse voiture noire.
A l'intérieur tout est noir avec du cuivre en or. Ça rigole pas chez les riches.

J'étais assis un siège plus loin d'Andrea qui elle était en train de se refaire une beauté. En plus superficielle.
D'un coup une question me vient à l'esprit.

— Et Mila ?

Sans même me regarder elle répond :

— J'ai appelé un taxi pour elle. C'est pas que je ne veux pas qu'elle rentre dans ma voiture mais on n'a pas le temps de dévier chez elle. Tu sais pourquoi.

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