Chapitre 5

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Une fois dans la voiture, j'étais très pensive et silencieuse je ne posais aucune question par simple flemme après tout j'allais bien savoir une fois arrivé je ne sais où , la femme n'arrêtais pas d'être sur son téléphone donc je regardais la route par ma fenêtre je m'étais même assoupie mais on me réveilla en ouvrant la portière où je m'étais reposé ce qui me surpris. Je lève ma tête et je vois la femme sur son téléphone me demandant de la suivre , je l'a suis , je regardai un peu autour de moi on était dans un endroit abandonné vu l'état de l'endroit. Une fois arrivé selon la femme elle me dit d'attendre là, je n'avais pas vraiment le choix. Après le départ de cette femme un homme avec un parapluie en guise de canne, l'homme s'arrête à quelque mètre devant moi et me dit:
- Vous devez sûrement vous demandez pourquoi vous êtes là.
-Euh oui oui. Dis-je un peu nonchalante
Cette simple réponse avait légèrement agacé l'homme devant moi.

-Je m'appelle Mycroft Holmes et je suis le frère de Sherlock votre colocataire.
-Oui et ? Répondis-je
-Vous êtes toxicomane, vous êtes toxique pour mon frère, vous devez sûrement savoir qu'il était junkie avant vous et qu'il a arrêté? Dis-il
- Oui je le sais c'est pour ça que je retourne à l'appartement que rarement.
- J'avais remarqué mais ce genre « d'effort » ne fera qu'intéresser encore plus mon frère et je sais que vous le savez et pourtant vous continuez. Dit-il
- Je ne peux pas réellement faire autrement j'habite là. Répondis -je
- C'est pour cela que je suis là je vais vous proposez de déménager contre une grosse somme d'argent afin de pouvoir payer le loyer pendant plusieurs années et avoir les moyens de vous achetez ce que vous prenez. Dit-il d'un ton répugné à cette fin de phrase
- Si c'est une proposition alors je peux la décliner?
- Effectivement mais ce serait très égoïste et vous...
- Bon bah voilà aller bonne journée et à la prochaine. Coupais-je tout en lui tournant le dos et en partant de cette endroit.
- Sherlock découvrira si ce n'est pas déjà fait qui vous êtes réellement. Dit-il d'un ton froid voir glacial

Une fois de retour devant la porte du 221b Baker Street il pleuvait énormément sur le chemin du retour et j'étais complètement trempé mais les paroles de Mycroft faisait écho dans ma tête car le fait que je sois ici devant cette porte fait que je sais le danger que j'incarne fasse à Sherlock et pourtant je veux quand même revenir, le croisé et lui dire que je suis là pour prendre des affaires tout en le baratinant que je suis chez mon nouveau copain même si ce que je dis ne le convainc pas. Cette pensée me rendit très triste et dis-je à haute voix « pff ce que je suis bête »les larmes commencées à monter et j'étais là figé devant la porte en train de pleurer mais j'ai quel âge? Mais les paroles de Mycroft faisait leurs effets je ne voulais finalement pas revenir , je ne voulait pas infliger ça a Sherlock , je tournis le dos à la porte mais je fis face à Sherlock face à moi trempé me regardant droit dans le yeux et il avait l'air d'être là depuis un moment et il me voyais en train de pleurer. Je baisse la tête et je me met à marché pour partir mais Sherlock me fait barrage en se mettant devant moi.
- Qu'est ce qui te prend pousse toi Sherlock. Dis-je d'un ton très sec
- Non. Dit-il
-M'énerve pas Sherlock c'est pas le moment. Dis-je en ayant toujours la tête baissée
- Rentre et va te sécher. Me dit-il d'un ton très légèrement triste.
- Mais j'ai oublié ma clé. C'était un mensonge.

Sherlock soupire et passe alors son bras derrière moi tout en me faisant barrage pour que je ne fuis pas, il entre sa clé dans la serrure , ouvre la porte et me fais mine de passer. Une fois rentrer je ne monte pas les escaliers je reste sur le palier de Mme.Hudson, Sherlock rentre et ferme la porte et pousse à nouveau un soupir mais cette fois il avait l'air agacé et me dit : « Aller monte ».
Je déclinais en faisant le mouvement de la tête tout en lui disant « non ».
Sherlock m'agrippe le poignet un peu trop fort et me tire dans les escaliers je n'ai pas d'autre choix que de monter les escaliers car il avait l'air énervé et j'étais prise au piège. Il me lâche dans le salon et me fait signe de m'assoir dans le canapé ce que je fis tout en me frottant le poignet qu'il m'avait agrippé et qui me faisait un peu mal suite à ce mouvement que Sherlock avait vu il dit : - Désolé pour ça
Il fermait toute les portes de la pièce pour que je ne m'enfuis pas et me jette une serviette au visage pour que je me sèche et il se mit debout en face de moi les bras croisé en attendant que je parle :
- Tu fais un peu peur là. Dis-je
- Ah oui ? Répondît-il
- Hmm. Dis-je en acquiesçant de la tête
Sherlock leva les yeux au ciel et s'assied par terre.
Surprise de cette réaction plus qu'inattendu, je suis plus haute que lui ce qui d'habitude n'est jamais le cas comme si il faisait ça pour que je me sente mieux. Je me lève et Sherlock me suis de la tête et je lui tombe littéralement dessus pour l'enlacer il tombe sur le sol lui aussi mais je suis au dessus de lui nos visages sont très rapprochés mais je préfère mettre ma tête dans son cou et pourtant lui ne fait rien il est très tendu et n'est pas du tout à l'aise mais il me dit :
- Qu'est ce qu'il se passe ?
- Maintenant? Dis-je
- Non devant la porte , ton absence etc. Me demande t-il
- Tu le sais déjà. Dis-je
- Oui mais je préfère que tu me raconte. Dit-il
- Non, j'ai pas envie pas maintenant en tout cas.
- D'accord. Dit-il tout en soupirant.
- Mais tu vas devoir faire des tests. Me dit-il
- J'imagine. Répondais-je
Après ça des bruits de pas résonner dans les escaliers je me lève de Sherlock légèrement en regardant vers la porte. Molly accompagné de John ouvre la porte et après avoir une tête très surprise referme la porte rapidement. Je regarde Sherlock et me lève tout en soupirant et en lui disant :
- C'est toi?
- Oui. Me répond-t-il.
-Tu les appelés quand ? Demandais je.
- Quand je t'ai vu dans la rue. Dit-il.
- Tu m'agaces. Dis -je d'un ton énervé.
- J'imagine mais tu dois faire les tests et partir en désintox. Dit -il tout en se levant.
- Je ne veux pas que tu vois ça. Dis-je.
- Tu penses que j'en ai envie? Répond-t-il

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