Que quelqu'un lui dise que son sourire radieux,
Me manquera si tôt que demain viendra à nous;
Que ces étoiles qui brillent dans ses yeux,
Ne m'emprisonneraient plus jamais dans ce monde, bien à nous;Que quelqu'un lui chante la magie de notre romance,
Qui désormais devra de conjugué au passé;
Car son heure de gloire dépassée,
Elle la doit à l'arbre de la mauvaise semence;Qu'on lui rappelle, combien de merveilles,
Nous ont été données de découvrir;
Ô, comme la vie était belle,
Et que nous n'avions connaissance du verbe souffrir;Se souvient-elle des fois où nous avons prié,,
Pour que le bon DIEU dans sa miséricorde nous fasse pitié;
Et qu'à sa table nous soyons tous deux conviés,
Avec l'espoir que notre idylle survive dans l'éternité;Dites-lui que même ses talons tournés,
Jamais je puis me réfugier dans un dédain;
Car, tel un damné, je sens fort bien que je suis condamné,
À l'aimer pour toujours, tel le triste sort d'un soldat fantassin..
~£e Flamenco~