Dans ces cas la, on met juste le plus beau des masques pour ne pas avoir à Expliquer toute la profondeur de sa peine...
Mais le soir,
En face de notre plus cher ami,
Ce bon vieux miroir,
On broie du noir,
Puis on se persuade que tout est fini,,
De ce lien qui nous a uni,
A cette personne indéfini,
Que dans notre être, on a fait asseoir....
Si fort qu'on ne peut l'expliquer,,
Si oppressant qu'aucun des mots,
De nos lexiques ne saurait l'indiquer.
Alors on la subit,
Espérant que bientôt elle sera fini.
Cette douleur, on la crit, sans bruit,,
Tant dans le silence de nos nuits,,
Qu'aux heures sombres de jours impies,
Elle nous tient les entrailles,
Et avec force nous tenaille,, 😞
Si tant que de nos envies
Plus rien ne nous égaie, et ne nous ravis.. 😞...
*Freud,, la plume trempée dans des larmes de mélancolie*
