Chapitre 2 : La voisine

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Lauren

Ce matin, mon père a disparu rapidement. Il avait un boulot monstre au garage d’après ses dires et j’étais en retard pour déposer les monstres a l’école mais je pris quand même le temps de la regarder. Elle était dans sa chambre, je la voyais grâce a nos fenêtres face l'une de l'autre. Elle était dos a moi et sa fenêtre. Assise sur son lit, elle portait un petit top noir avec lequel elle devait avoir dormi et elle s'attachait les cheveux en chignon. Ses longs cheveux noirs ondulés que je vois descendre le long de sa colonne vertébrale a chaque cours de biologie. Elle était juste devant moi. Ça faisait deux semaines que le lycée avait reprit et elle ne s’était pas faite remarquer. Elle est rester courtoise. Me dire bonjour quand elle me voyait ou me sourire tendrement quand elle me voyait la regarder dans la cafétéria. En deux semaines, j'ai découvert des choses sur elle.
Camila Cabello, elle chante bien même si je ne l'ai jamais vue ou entendu chanter. Le petit spectacle a la cafet le premier jour, je n'ai pas entendu sa voix. Je savais qu'elle sortait avec Shawn Mendès qui est le quarterback de l’équipe de de foot américain. Elle est amie avec Dinah-Jane Hansen, une riche plutôt cool et une cheerleaders Santana Lopez plutôt connasse. Elle s'entend aussi super bien avec tout le monde dans le Glee Club et tout le monde l'adore. Elle fait rire tout le monde et est tellement belle que tout le monde boit ses paroles.
Elle se lève et sort de sa chambre sous mes yeux ébahis. D'accord, c'est difficile de ne pas être hypnotisé par cette créature. Je descends et prend une douche avant de me changer et envoyer les petits a la douche. On a pas le temps de petit-déjeuner, je m’arrêterai acheter des trucs pour le petit déjeuner dans un coffee shop.
Sur la route pour leur école, j’aperçois un coffee shop du nom de « Havana bar ». Je sais qu’ils y font du café. Je m'excuse au près de mon frère et ma sœur en leur demandant de ne pas bouger. J'entre dans ce petit bar et m'approche du comptoir. Je vois, sur le présentoir une floper de Muffins en tout genre et les analyse tous.

- Je peux vous aider ? Demande une voix que je reconnais.

Je lève les yeux sur elle. Elle a un crayon a papier coincé dans sa chevelure noir qu'elle a attaché ce matin en chignon et qui n'a pas l'air d'avoir bouger et elle écrit avec un autre crayon sur un petit carnet, elle n'a pas l'air de m'avoir vue. Je vous avoue que je ne l'imaginais pas faire la serveuse.

- C'est pas vrai, tu es partout toi ! Dis-je pour l'interpeller.

Elle lève les yeux vers moi et me sourit.

- Salut Jauregui ! J'ai l’impression que tu m'as dans la peau… rit-elle

Je souris. Pourquoi je souris franchement ?

- Alors tu veux quoi ? Demande-t-elle sortant d'une sorte de transe.

- Trois muffins myrtilles, un café corsé et savoir pourquoi miss perfection se sent obliger de se salir les mains, maman et papa on retirer l'argent de poche ?

Elle attrape une pince, un petit sac et attrape un muffins qu’elle met dans ce sachet.

- Je travaille ici depuis que mes parents ont eu des problèmes d'argent après la mort de ma grand-mère pour aider ma tante a faire renaitre de ses cendres le petit restaurent de mon abuela a Cuba. Je les ai aider et j'ai adorer travailler ici. Ça me permet d'avoir du café gratuit, de l'argent et des soirées karaokés où les gens préfèrent chanter faux.

Elle me lance un sourire et je m’étonne qu'elle se soit tant livrer a moi. Est-ce facile pour elle de dire des trucs qui sont censée la toucher ? Elle me tend mes trois sachet avec les trois muffins et se tourne pour faire mon café. Elle est de dos et je ne peux pas, je n'y arrive pas. Je ne peux pas ne pas regarder son fessier. C'est devenu mon obsession. Ses fesses rebondissent toute la journée. Pourquoi me fait-elle tant d'effet ?

Cent millions de baisersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant