Chapitre 2 : Calista Paige

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- Je suis foutu Carla accélère s'il te plait

- Je fais du mieux que je peux ma poule... Si la police nous arrête on sera plus que foutu

Mon ami appuie sur l'accélérateur je suis mal nous sommes aller à une fête cette après-midi et je n'ai pas vue l'heure passée en plus mon portable est décharger il est déjà 18h mon père va péter les plombs je suis mal très mal... Carla gare enfin devant le restaurant.. oui la maison est juste au dessus de notre commerce
Bizarre le restaurants n'est pas ouvert

- Tu veux que je t'accompagne ?

- T'es trop chou.. mais sa ira

- Sur ?

- Sur...

- N'oublie pas de faire le regard tristounet sa marche à chaque fois.. toute façon c'est ça ou être puni à vie

Lance Carla avant de m'embrassé et de démarrer je respire un bon coup je sais sa a l'air ridicules vu que je suis majeure mais depuis le décès de ma mère mon père est super protecteur et plus stricte comme si il avait peur de me perdre

je passe par l'arrière tout est dans le noir sauf les lumières externe j'enlève mes chaussures et je referme doucement la porte en me dirigent vers les escaliers quant...

- Tu as vu l'heure ?

Je sursaute <<papa>> il allume la lumière je suis foutu mais bizarrement il est plus triste que furieux il avance vers moi je baisse la tête

- Pardon papou j'ai pas vu le temps passer et mon portable est ...

- Tu m'as fais peur ma puce... Me coupe t-il en me serrant dans ses bras

La vérité est que Ronald Paige avait cru que l'homme à qui il devait une énorme somme d'argent avait kidnapper sa fille

- Tu es sur que tout va bien papou ?

Il s'écarte de moi et me regarde les yeux humides

- Papou ? Sa va ?

- Vient.. Il faut qu'on parle je le suis jusqu'au canapé où on prend place

- Papou tu me fais peur dit moi ce qu'il y'a ?

Ronald Paige se passe nerveusement la main sur le visage

- Calista Il y'a trois ans... Je.. j'ai pris des crédits à la banque.. trois précisément

- Oh... Papou

- S'il te plait laisse moi finir.. j'ai besoin que tu comprennes ma décision

- OK papou

- Donc j'avais pris ses crédits pour payer les factures de l'hôpital et ceux du restaurant Ronald refusait que sa fille se sente coupable alors il évitait de parler de l'argent de ses études... Après la mort de ta mère j'ai délaissé le restaurant et la banque voyant que je ne versé plus la somme exiger chaque mois avait envoyer des huissiers qui avaient décider de tout nous prendre la maison le restaurants.. Un ami banquier Paule m'avait parler d'un jeune hommes riche qui prêtait de l'argent j'ai alors contacter cet homme par chance ou plutôt par malchance il était ici pour affaire ... Au final il m'a fait ce prêt je versais régulièrement au début puis il n'a plus donner signe de vie et au lieu de continuer mes versements j'ai été gourmand.. J'ai négligé et maintenant il à réapparut et veut son argent ... Pardonne moi ma Calista

- Oh papou..

Je le prends dans mes bras... C'est si douloureux de le voir dans cet état il s'est toujours montrer si fort je vois bien qu'il retient ses larmes et si il est dans cet état c'est que sa doit être une grosse sommes d'argent je m'écarte doucement de lui...

- Papou ? combien avais-tu empreinte ?

- Un million

* OGM *

- Oh papou c'est énorme

- Je sais pardonne moi...

- Je sais une chose... Tu n'aurais jamais pris un tel risque si se n'était pas nécessaire

- .................

- Papou.. je pense que si on vend la voiture on pourrait régler une bonne partie de la dette

- Calista j'ai... J'avais empreinte un million avec intérêt de cinq cent mille ça a pris trois ans imagine combien je dois aujourd'hui.. je suis foutu il menace de m''envoyer en prison si je ne rembourse pas son argent

- NON.. Papou tu n'ira pas en prison je ne le laisserai pas faire... Et puis qui est cet homme ? pourquoi il est si rapide ? On peut bien trouver une façon de s'arranger ?

- Justement en parlent de ça... Calista il veut..

DING DONT on sonne à la porte mon père se lève brusquement je me lève également

- N'y va pas ma chérie...

- T'inquiète sa doit-être Carla à tout les coups j'ai oublié un truc dans sa voiture comme d'hab

Je me dirige vers la porte mon père me demande de ne pas ouvrir mais trop tard j'ouvre et je me retrouve face à un mur..
Non plutôt face à un torse musclé je lève les yeux et croise un regard sombre et glacial

- Bonsoir Cali...

Sa voix est douce et aussi froid que le vent glacial qui pénètre dans la maison.. les éclaires fouettent derrière l'inconnu dans le ciel un frisson me parcours de la tête aux pieds je recule quand l'homme entre sans être inviter

* Mais il veut quoi lui * pensais-je


ON NE SAIT JAMAIS ( En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant