Chapitre 8 : POGPUNG

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On se retourne Lilo est débout les sourcils froncé..

- Mec... Tu ne peux pas dire des truc comme ça.. rétorque Arys en se passent le pouce et l'index sur le front l'air désolé

- Si tu le dis... lance t-il simplement...
Il porte un T-shirt blanc décontracté à manches courtes qui serre ses bras dessinent son torse et ses abdos un jeans noir avec une Timberland Killington Chukka, Sneakers Montantes noire et une veste Casual Col Châle Zip Manche Longue noir en Skie

* Bon sang il s'y connaît en matière de mode ce connard *

- Arys on doit y aller tu as dix minutes pour t'habiller retrouve moi dans la voiture

- Bon bah.. à tout à l'heure princesse

- Mais j'ai cru qu'on allait manger Arys ?

J'avoue être un peu déçu que Arys s'en aille

- Les affaires sont les affaires Cali... Lance l'autre la..
Mais qui l'a sonner ?
Arys s'en va en murmurant

<< Désolé >>

- Suis moi... Dit froidement Lilo en me tenant par l'avant bras
* Aie *
Pourquoi il s'énerve ? Il me fait entrée dans une chambre en me lâchent brusquement heureusement que le lit amorti ma chute

- Mais qu'est-ce qui va pas avec toi ? dis-je en massent mon bras

Il se passe une main dans ses cheveux "en se mordant la lèvre inférieur.. dans d'autres circonstances j'aurai trouver ça super sexy

- Tu sais que les bouts de tes seins sont tellement tendu que sa se voit a travers ta robe ?

* HEIN ??? *

- Quoi ? Comment ça ?

Je baisse les yeux sur ma poitrine et...
* OMG *
Je barre ma poitrine avec un cousin péché sur ce grand lit bon sang Arys a du bien me maté oh j'ai trop honte maintenant..
Ça du commencer quand nous étions dehors normal avec cette fraîcheur

- Ah maintenant Mme les camouflent après qu'ils ont été maté par tout les employés bordel Cali les soutiens-gorge tu connais pas ?

Je ne sais pas ce qui m'énerve le plus.. qu'il soit si calme quand il est énerver chose qui me fait un peu froid dans le dos ou qu'il me gronde comme si j'étais sa gosse

- Je te jure que si Arys n'était pas...

- T'allais faire quoi ? Le vendre ?

Il lève les sourcils surprit je le défi du regard il avance tout près de moi, si près que l'odeur de son parfum m'enveloppe ma tête au niveau de son torse j'ai l'impression d'entendre mes battements de cœur dans mes oreilles
D'une main rapide il saisit ma mâchoire

- Cali fais attention à ce que tu dis... Je ne veux pas être le méchant de l'histoire

- Tu l'ai déjà.. espèce de marchand d'esclaves..

- Je peux faire de toi mon esclave... Si c'est ce qui te fait mouiller au lit

* Mais.. l'enfoiré *

- Tu me lâche dis-je en repoussant son bras... La faute à qui si je marche les seins a l'air ? Je t'ai demander mes affaires tu n'as pas voulu et dans ton foutu dressing de riche à la con j'ai pas trouvé des sous-vêtements

J'en peux peu plus d'être dans cette chambre avec lui.. de mon épaule je bouscule son bras pour passer

- Tu vas ou comme ça Cali ? Tu sortiras quand je te le dirai

ON NE SAIT JAMAIS ( En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant