Chapitre 27 : SINHEUN YEOHAENG

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- Pourquoi tu ne m'as pas réveillé ?

- Tu étais trop fatiguer

- La faute a qui ?

-.....................

- Mon Dieu j'ai trop faim.. je ne comprend pas

- L'alcool et l'effort physique d'hier sans oublier..

- C'est bon j'ai compris

- Tu veux qu'on s'arrête on a toujours nos sandwiches d'hier ?

- Non.. Dit-elle sèchement

Cali était trop fatiguer alors j'ai préféré qu'on passe la nuit dans la grotte vu qu'elle ne se réveillait pas l'alcool y a été pour beaucoup aussi.. Mais au petit matin en le découvrent elle a piquer une crise.. évidemment sa colère était lier au fait qu'elle se soit donner a moi.. Maintenant que nous sommes a vélo sur le chemin du retour elle fait la gueule je sais qu'elle a aimer et qu'elle a peur ou honte de recommencer.. c'est quand même drôle de la voir dans cet état

- Et ne crois pas que.. parce que je me suis donner a toi.. je suis amoureuse

- Bien..

- Ni.. que.. je.. t'aime

- J'ai compris Cali..

- S'était.. un moment de faiblesse

- Evidemment

- Je.. je ne suis pas a toi..

- ......................................
* Bien sur que si yeowang nim *

- Sa ne se reproduira plus

* On verra *

Dans un silence.. On fini enfin par arriver à la maison après m'avoir aider a ouvrir les volets et les portes elle me dit qu'elle va prendre un bain j'acquiesce et elle disparaît.. Tant mieux sa va la détendre et la calmer sinon comment elle pourra apprécié ma surprise ?

~

Après une bonne heure dans l'eau j'enfile un peignoir blanc et me sèche les cheveux je vais fouiller dans le placard comme il ne fait pas chaud aujourd'hui et que le temps menace un peu j'opte pour une robe et une basket blanche

Je regarde l'océan assise sur le fauteuil face à la porte fenêtre ce bleu azur a perte de vue est un magnifique tableau mais force de vouloir l'oublier je me mets a repenser a ce qui s'est passer entre lui et moi hier je me sens rougir franchement...

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Je regarde l'océan assise sur le fauteuil face à la porte fenêtre ce bleu azur a perte de vue est un magnifique tableau mais force de vouloir l'oublier je me mets a repenser a ce qui s'est passer entre lui et moi hier je me sens rougir franchement je suis en colère qu'il m'est vu aussi faible et vulnérable mais je ne regrette pas ou peut-être que si.. en fait je ne me comprend pas moi même

La porte s'ouvre sur lui mon pou s'accélère je n'arrive pas a bouger.. A ma grande surprise il ne dit rien et va prendre une douche... 30 minutes après je n'es toujours pas quitter la chambre
* Pourquoi je reste là ? Pourquoi je m'en veux ? *
La porte de la douche s'ouvre sur un Lilo sexy beau dans son pull gris son jeans bleu délavé et ses van's blanche je n'arrive même pas a détourner le regard son odeur musqué envahi l'espace

- Tu viens ?

- Où ?

- Déjeuné..

- Il est 11 heures

- Cali..

Il ouvre la porte et attend.. c'est vrai que j'ai faim même-ci je boude je me lève et le suis.. Dans le couloir il se retourne et me regarde de bas en haut

- Tu es belle, tu as de magnifique jambes

- ................................. Je vire pivoine
* Merde *

- Tu as arrêter de faire la gueule ?

- Je ne fais pas la gueule

- Alors quoi ? S'était si mauvais ?

- No.. Non.. dis-je en reculent de deux pas, les sourcils légèrement froncés il avance

- Je t'ai fait mal c'est ça ?

- Non.. Dis-je en baissant les yeux... Ses questions me surprennent et me gènes, s'il savait a quel point s'était magique c'est même une des raisons pour lesquels je suis en colère.. Je crois que j'en veux encore
* bon sang Cali ta gueule *

- Tu regrettes ? Il frôle ma joue du dos de sa main bon Dieu il veut vraiment me rendre folle

- Lilo.. Dis-je en décalent ma tête pour rompre le contacte électrique que faisait sa peau contre la mienne

- Alors.. je n'es plus le droit de te toucher ?

- ..............................................

- Répond moi..

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Lilo j'ai aimé ? Je veux recommencer ? Si sa ne tenait qu'a moi on serait rester dans cette grotte ? Que le contacte de ta peau contre la mienne me met en ébullition ? Mais non c'est trop facile j'y arrive pas, tu m'énerve je dois te détesté bordel pour qui tu te prend ? Qui es-tu ?

- Ton mari.. Dit-il en avancent rapidement m'obligent a reculer contre le mur il renverse les décorations qui était sur la table console

- Mais qu'es que tu fais ?

Il me soulève par les aisselles me fait asseoir dessus.. et se met entre mes jambes il caresse mon cou et écrase ses lèvres contre les miennes j'essaie de le repousser mais d'une main il bloque mes poignets derrière mon dos de l'autre il maintient ma nuque pour approfondir le baiser... A bout de force je le laisse faire et répond même a son baiser puis il me lâche et passe ses mains sous ma robe je frissonne sous ses caresses qui passent sur mes cuisses mes hanches il m'embrasse le cou.. Les yeux fermer je pose mes mains sur son torse les remonte sur ses larges épaules son cou et dans ses cheveux il fait glisses ma manche

- Bordel Cali les soutiens gorge tu connais pas ?

- Pas avec toi..

Il pose ses lèvres sur mon sein engloutissant mon téton je couine presque tant sa langue est délicieuse

* Bon sang qu'est-ce que tu fous Cali ? Repousse le, éloigne toi de lui ou gifle le *
Mais non mon putain de corps n'obéit pas a ma débile de tête au contraire je m'accroche a lui j'en ai envie j'en ai besoin je ne me l'explique pas.. Lilo est tout a coup devenu une bouée d'air il comble un vide

Quand sa commence a devenir trop chaud.. Il s'écarte tout doucement
* Bon sang *
Les yeux fermer nos fronts lier Il passe son pousse sur mes lèvres.. tremblante je reprend mon souffle

- Tu vois Cali..

- ..........................

- Tu viens de me le dire

- Te.. Te dire.. quoi ?

- Que tu m'aimais

- Quoi ? N'im.. n'importe quoi.. j'ai.. je ne l'ai jamais dis

Son éternel sourire en coin il arrange ma robe m'embrasse sur le front me tient par les hanche et me fait descendre il recule de deux pas

- Aller tu viens ? Je crève la dalle..

Je souris parce qu'il me tend la main alors je passe devant lui sans la saisir.. * Mais qu'est-ce qu'il crois ?
Je peux marché toute seule *



ON NE SAIT JAMAIS ( En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant