Chapitre 4 : JEOLMANG

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Je coure dans la rue comme une folle la pluie est trop forte j'aperçois enfin l'arrêt d'auto bus je me précipite car il est sur le point de partir je vérifie mes poches j'ai toujours mon portable et mon porte monnaie je sors ma carte d'étudiant la montre au chauffeur et monte je sens le stresse diminuer quand le bus démarre enfin... J'essaie d'allumer mon portable mais la batterie est trop faible je regarde autour de moi rien d'anormal.. je me cale contre le siège

Franchement je réalise à peine ce qu'a fait mon père... Comment a t-il oser me vendre sans scrupule ? Sous ses airs de père stricte et sévère je croyais qu'il m'aimait.. mais non à croire qu'il voulait se débarrassé de celle qui ressemble tant à la femme qu'il a aimer et perdu.. pourtant avant il n'était pas comme ça peut-être la peur de tout perdre l'a pousser à prendre cette décision non mais je suis folle ou quoi? Rien sur terre ne justifie un tel geste ou peut-être qu' il faisait semblent quand maman était en vie et qu'il n'a jamais voulu avoir d'enfant ? Je ne sais plus quoi penser...

Je sursaute.. revenant à la réalité quand un homme passe près de moi... Le bus est à mon arrêt je sors bon sang que j'ai froid heureusement que la pluie s'est arrêter plus que quelques patté de maisons et je suis chez Carla je monte sa ruelle en pavé 

Ces parents sont super sympa je suis sur qu'ils vont accepter que je passe la nuit chez eux se ne serait que la énième fois ... Bon sang que j'ai froid je peux entendre mes dents claquer dans cette nuit noire... Enfin arriver devant son portail au moment où je m'apprête a sonner des phares d'une voiture garé s'allument quitte à m'aveuglé... Je mets ma main en visière et j'avance...

- Klaus ? C'est toi ?

Sa doit être Klaus le grand frère de Carla il est surement encore entrer de fumer de la bue avec un de ses plans cul... La portière s'ouvre une ombre descend de l'énorme voiture cigarette en main il s'adosse sur le capot
* je le savait *
Je cours le rejoindre quand je m'arrête frôlent l'évanouissement 

- Cali monte dans la voiture s'il te plait...

Sa voix est aussi froide que les vêtements que je porte... Je suis pétrifier non mais c'est impossible comment a t-il sut ?
L'ange de la mort tire sur sa cigarette et recrache la fumer à ma direction puis il jette son mégot et se redresse OGM qu'il est grand je recule le voyant avancer

- Cali joue pas à ça.. tu vas perdre

* Je ne rêve pas là.. il vient de me menacé ? *

- Je n'aime pas me répéter yeowang nim ( Coréen ) 

* Hein ? *

OK il vient de parler en langue et n'a vraiment pas l'air content ... Mais il rêve si il croit que je vais l'écouter...

 *Et pour qui il se prend pour m'appeler Cali ? seule mes personnes préféré ont le droit de m'appeler ainsi... Calista reste concentrer s'il te plait tu es en danger là *

Je me retourne pour fuir mais je heurte quelqu'un je lève les yeux en avalent difficilement ma salive je le reconnaît c'est ce mec qui est rentrer avec les gorilles qui ont emporter mes valises et puis comment oublier sa chevelure blonde platine..? Il affiche un léger sourire et met les mains dans ses poches

- Mian haeyo ( Je suis désolé )

- Quoi ? Dis-je déboussolé

Une main s'enroule autour de mon ventre me faisant décoller du sol comme une vulgaire poupée de chiffon surprise je lâche un crie qui brise le silence de la nuit... Cette odeur c'est lui.. de son autre main muni d'une pochette blanche il l'a plaque sur ma bouche et mon nez j'essais de ne pas respirer mais je manque d'air tout en me débattent puis je me sens toute molle sentent qu'il me porte sur son épaule sous le regard du blond qui a toujours les mains en poches je sombre 

*éclipse de quelques heures *

J'ouvre les yeux je suis sur un espère de lit

.

- Mais c'est.. quoi ça ?

Je porte un large pull gris et un short noir j'entend des voix je me redresse et vois un hublot. Prise de panique je me lève et tourne sur moi même

- Non, non pitié mon Dieu pas ça.. 

Je sens aussitôt ma poitrine se serré j'ai du mal à respiré les yeux me pique j'ai des fourmillement aux pieds j'ai la nausée bon sang je vais mourir si jeune... J'essais mais je n'arrive plus a contrôlé les battements de mon cœur je regarde par le hublot

- OH BON SANG... 

Comme si je ne pouvais pas crever en paix.. les rideaux s'ouvrent sur l'ange de la mort et son acolyte le blondinet ils s'arrêtent quand je recule brisent un vase au passage bizarrement il a plus l'air inquiet que furieux il regarde le blond et lui lance un regard noir en parle en leurs  langue... ma vue se brouille je suis foutu je vais crever

***

Avec Arys nous sommes à lavant de l'avion il me fait un dernier compte rendu sur une de nos affaires quand j'entend du bruit.. je l'interroge du regard il se lève et j'entends sa voix je me lève à mon tour 

- C'est une blague Arys ?

On va jusqu'aux rideaux que j'ouvre elle est la, le visage pale la main sur sa poitrine les yeux en larmes je veux m'approcher elle recule et brise un vase alors je m'arrête elle est déjà assez effrayer comme ça... La colère me gagne je me tourne vers Arys en parlent coréen

- Bordel qu'est ce que t'as foutu Arys ?

- Rien du tout...

- Rien...?

- Mais qu'est-ce qui lui arrive ?

- Elle fait une crise de panique sombre idiot.. elle à une peur bleu en avion putain je croyais que ce produit durait toute une nuit

- Oh ?? Désolé je vais chercher la dose qui me reste 

Je me passe le pouce et l'index sur les sourcils... De fois il me désespère

- Oui fais donc ça..

Arys s'éclipse je me tourne vers Cali qui a glisser au sol sur ses genoux elle s'est réfugier dans un coin je prends une grande bouffer d'air et expire par le nez je m'approche et m'accroupi en face d'elle ses yeux gris vert s'affolent

- N... Non.. pas toi.. dit-elle entre plusieurs sanglots je prends son visage en coupe ses joues deviennent rose 

Elle est d'abord surprise ayant un mouvement de recule mais je caresse ses joues avec mes pouces elle dépose ses mains sur mes poignets et secoue sa tête de gauche à droite 

- Non.. non

-Chuut yeowang nim.. respire

- J'... J'y arrive.. pas... sniff..

- Si tu le peux Calista...

- NON... Aide.. mo.. moi

La voire en détresse le supplice dans le gris de ses yeux magnifique me submerge de colère et je hurlé entre mes dents

- ARYYYS....????
Où est donc passer ce psychopathe ?

Cali sert mes poignets et respire de plus en plus vite et fort j'essuie ses joues humides la voyant si vulnérable j'entreprend de faire tout ce que je peux pour la calmé et je poses mes lèvres contre les siennes

Sur ses magnifiques lèvres rose bonbon quitte à L'achever ou à me faire insulter.. Ses lèvres sont d'une douceur incroyable et ont le gout de raisins... Putain dans d'autres circonstances j'aurai demander accès à sa langue mais au lieu de ça je m'écarte doucement d'elle

Les yeux toujours fermé elle ne bouge plus sa crise à l'air d'être passer Arys arrive enfin et me tend l'injection je l'enfonce dans son épaule droit elle ouvre les yeux avant qu'ils se referment elle vient de s'évanouir dans mes bras... Je la soulève en mode princesse et la dépose sur le petit lit...

ON NE SAIT JAMAIS ( En Réécriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant