[Giyu x Shinobu] One Shoot : Pour un soir.

One Shoot : Pour un soir.

Mot de l'auteur : Hey tout le monde ! Voici un nouveau OS rien que pour vous ! 

J'espère qu'il vous plaira ! 

Celui-ci se passe à l'aire Taisho ! Je vous l'avais dit que je vous préviendrais dorénavant à chaque début d'écrit ! 

Quoi que j'ai oublier pour le dernier..

Mais bon ! Place à l'écris !

/!\ avertissement ! /!\ Allusions sexuelles ci-dessous ! Âme sensible s'abstenir !

Bonne Lecture !

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Shinobu courrais avec le pilier de l'eau en direction de l'auberge affilié à l'organisation des pourfendeurs. Leur lieu de mission se trouver à cinq jours de course de la ou ils se trouver actuellement. Ils avais déjà bien couru et s'accorder une pause pour la nuit. Ils arrivèrent devant l'auberge et entrèrent pour s'avancer jusqu'à la réception. Une dame assez âgée les accueilles avec un doux sourire. Elle n'as pas besoin qu'ils lui disent de quels organisations ils vienne, leurs vestes ainsi que leurs cape parle pour eux. Elle les conduit de grâce à la salle de réception ou ils vont pouvoir se restaurer. Shinobu s'empressa de s'assoir, épuiser de leurs courses. Tomioka lui, prit son temps pour s'assoir face à elle, ne la regardent presque pas. 

Ils mangèrent dans le silence qu'avais imposer silencieusement le pilier de l'eau. Mais c'était sans compter sur Shinobu qui ne pouvais s'empêcher de parler joyeusement et de taquiner le jeune homme. Il ne disait rien, se contentent de l'observer par moment tout en mangent. Avec le temps, il la trouver de plus en plus féminine et il trouver aussi qu'elle devenais beaucoup trop attirante. Plusieurs fois, ses pupilles bleus océans se perdez sur les courbes alléchante de la jeune pilier face à lui. Dieu qu'elle était terriblement séduisante. C'était dans ses rares moments qu'il sentais sa virilité se redresser dans son pantalon d'uniforme. Dieu que s'était embarrassent, dans ses moments là, il faisait profile bas. Ne lui accordent aucun regard, lui faisant croire qu'il la snober alors qu'en réalité il se retenais de lui sauter dessus et de faire parler l'homme empli de désir en lui.

Après le repas, la dame âgée rapporta un saké qu'il cultiver de génération en génération dans cet auberge. Au début le pilier de l'eau refuser l'offre de la femme mais il ne pu refuser plus longtemps, menacer par deux prunelles violines face à lui. Et il savais de quoi elle était capable, soule. Il l'avais déjà vue devenir violente envers Rengoku alors que celui-ci ne faisait rien d'autre que rire avec le pilier du vent. Valait mieux ne pas tenter l'expérience..

C'est avec regret qu'il accepta à contrecœur la bouteille de saké de l'aubergiste sous le regard satisfait de la jeune pilier. Elle leurs versa deux petits verres alors qu'elle posa la bouteille sur la table. Elle s'inclina respectueusement avant de partir s'occuper. Shinobu s'empressa de récupérer le récipient, tout en observent le pilier face à elle. Elle attendez qu'il prenne son verre à son tour. Il soupira avant d'attraper son verre à son tour. Il soupira une nouvelle fois en constatent qu'elle attendez qu'il finissent entièrement son verre avant de consumer le sien. Avec regret, il avala le liquide brulant, il savais que si il commencer il aurais énormément de mal à s'arrêter. Et il se trouver en charmante compagnie de surcroit.. Il devais redoubler de vigilance, Shinobu étant un danger de plus à elle toute seul pour ça survie.

Tomioka le savais et il l'avais prédit ! Ils venais de terminer leurs troisième bouteille et pourtant, le corps du jeune homme en redemander encore et encore. Et le corps de Shinobu qui était contre lui, argh ! Ce que c'était dur de se contenir. Si elle continuer de le coller ainsi, il allais perdre la tête et surtout ses barrières aller tomber une à une, le laissent sans défense face à ce corps féminin si intriguent. Shinobu elle, était complètement ivre, rougissante à n'en plus finir et surtout bien installer contre le corps chaud du pilier. Elle adorer sentir son corps contre elle, prétexter tout les mensonges du monde, juste pour ce retrouver dans ses bras, contre lui. Et le pire c'est qu'il ne disais jamais rien, il se laisser faire, comme à l'instant. Elle avais beaucoup trop bu pour se rendre vraiment compte de ce qu'elle faisait à l'heure actuelle. Tant pis.