Précédament
De retour dans le couloir, il ne m'a pas fallu plus de temps d'attente pour que la porte du bureau s'ouvre enfin. La personne qui en sortie me surpris énormément. Je ne pensais vraiment pas la voir ici...
Les deux molloses se poussent sur le côté pour laisser passer la personne qui attend de sortir. Il regardait le sol mais quand il vis mes baskets noir, son regard monta jusqu'à ma tête et quand son regard plein de rage croisa le mien, c'est à ce moment seulement que je su que c'était vraiment lui. Peter resta longuement, les yeux noir de rage, à me dévisager. Au début j'étais surprise mais maintenant, il ne reste que la haine. Ne voulant pas m'abaisser à son niveau, un voile de désintéressé et un air de superieurité recouverts alors mon visage, ce sont aussi les seuls arguments qui pourrait me décrire en ce moment même. Malgré tout, cet vermine reste de marbre comme si il maitrisé la situation et c'est alors qu'un sourire commença à apparaître sur ses lèvres suivie d'un rictus que je ne voulais pas entendre. Ce petit rire et cette expression, tous cela pour me faire comprendre un message. C'est comme si il avait déjà gagné... Bon respire, je verrais ça avec Elena. C'est déjà assez difficile de savoir que mes problèmes l'atteint, je ne peux pas la laisser les régler alors que c'est moi qui les a créés. Toujours avec la même expression de supériorité, je me déintéresse de lui car mon regard et m'a concentration ce dirige maintenant vers la porte encore ouverte derrière lui et d'un petit geste en arrière de la tête, je la claque ce qui me donne un sourire aux coins des lèvres de satisfaction. Un peu perturbé, il me regarde surpris puis pour ne pas perdre la face, il me regarde de haut et commence à marcher pour descendre les escaliers. En passant,il souffle "ce n'ai pas fini" et continue sa route. Mon sourire ne ce décroche pas de mes lèvres, après tous, ce sont les petites victoires qui content. Les rugbymen sont toujours de chaque côtés de la porte, silencieux et même si ils continuent de me regarder de haut (c'est peut-être normal vue leurs taille), une certaine fierté reflète dans leurs yeux. Bref, ils commencent enfin a me considérer comme autre chose qu'un intrus et surtout, ils attendent que je rentre pour recommencer à parler. Toujours avec mes quatre verres, je rentre, dans le bureau et la porte ce ferme derrière moi en claquant ce qui me fit raidir mon dos.
La pièce est aussi éclairé que l'autre, donc pas vraiment. Un large bureau sculpté dans un bois foncé ce trouve au fond de la pièce, juste devant une grande vitre qui va jusqu'au plafond. Les murs qui encadres la pièce sont tapissés de livres et sur le mur droit, a côté du bureau, un mini bar presque identique que dans l'autre salle. Juste a coté, une figure noir s'appuie contre la bibliothèque, la tête contre la vitre gigantesque et pousse un long soupir.
Je m'approche doucement, sur la pointe des pieds, du bureau pour y poser les gobelets et le verre mais malgré tout le mal que je met pour les poser le plus doucement possible, le verre claque sur le bureau laqué et la figure noir se retourne pour comprendre ce qui ce passe. Elena sourie quand elle vit qui était entré et me taquine "tu n'arriveras jamais a me surprendre"
Je riposte alors en soufflant "j'y étais presque pourtant" avant de la prendre dans mes bras. Après cela, pendant vingt bonnes minutes nous discutiâmes de tous et de rien et rions comme des tarées qui n'avaient rien d'autre à faire. Moi sur le bureau assis en tailleur et elle qui marche dans toute la pièce et gesticulait comme un papillon quand elle racontait ses histoires. Après que tous mes verres fus vidés et qu'elle s'était calmé, il était temps de parler de choses plus sérieuses. En un regard, elle compris, et vint s'asseoir sur le fauteuil du grand patron ce qui signifierait que ce n'était plus mon amie que j'avais en face mais bien une alpha. C'est bien pour cette version d'elle que l'on s'étaient distancés et qu'un fossé à commencer à ce creuser entre nous. Je m'assis donc sur la chaise en face, de l'autre côté du bureau.Dès la semaine où ses crocs ont poussés, je n'avais plus le droit de la voir. Son père, qui n'était déjà pas favorable que moi, une personne extérieur de sa meute, traîne avec sa fille a décidé que nous devions couper les ponts et pour qu'elle se concentre sur ses devoirs qui sont de reprendre l'affaire familiale. J'étais triste de ne pas pouvoir la dire comment j'étais contente pour elle et ce ne fut que 2 mois plus tard que j'ai pus la revoir. Elena était avec son père, deux de ses associés et quatres hommes de main. Ils étaient en face d'un restaurent chinois, et moi, je marchais sur le trottoir d'en face, une vielle paire d'écouteurs dans les oreilles et mon sac remplis d'ingrédients pour mes potions sur le dos. Son père ce tourna vers elle et lui ordonne quelques chose du genre "reste ici et ne bouge pas !", c'était facile à comprendre même si j'étais trop loin pour distinguer un traître mot qu'il disait car il la pointait de son index et quand tous les hommes entrèrent dans le bâtiment, elle ne bougea pas. Je traverça la route et cria son prénom et en agitant mon bras au dessus de ma tête. Elle tourna rapidement sa tête vers ma direction très étonnée et balbutina mon prénom comme si elle se poser la question que c'était bien moi. Arrivé à son hauteur je voulu la prendre dans mes bras mais elle recula comme si j'étais une étrangère. Un peu perturbé, je joinie mes mains et commença a jouer avec mes doigts en lui offrant un sourire malaisant et lui disant comment j'étais contente pour elle. Pour seul réponse, elle murmura un "Oui" avant qu'un lourd silence s'installe.

VOUS LISEZ
A Bit Of Magic
FantasyVous êtes vous déjà demandé comment serait la vie si le fantastique existé ? Moi, si. Et cela m'a donné l'idée de faire cette histoire. Un monde où tout est pareil mais en même temps complètement différent... Sofia, Héra, Diana, Béatrix et Chloé, ci...