Chapitre 11

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Précédemment : Bon, Chloé n'ai pas dans ce couloir non plus mais une chambre attire mon attention. La porte est grande ouverte et beaucoup de personnes y sont rassemblé devant. Je décide d'y aller et voir ce qui provoque toute cette agitation. Je trouve enfin Chloé mais comme toutes les autres, elle est entrain de faire quelques chose qui me met bouche bés. Pourquoi sont-elles toutes aussi tordus ?

Dans la salle, un lit d'une place est poussé contre le mur et déjà il n'y a plus de place dessus. De l'autre côté, un bureau et une chaise, sur le bureau, une personne est assis en tailleur et sur la chaise, un couple qui ne fait pas attention à se qui ce passe a coté. Contre un mur, une armoire blanche. Ce sont les seuls meubles qui peuvent faire penser a une chambre. Au milieux de la pièce, une table ronde entouré de douze chaises, toutes occupé. La dessus, sur la table, se joue une partie de cartes mais il y a quelques chose qui me dérange des participants. Ils leurs manques tous des vêtements. Tous les concurrents fusil du regard leur concurrants et ont des visages illisible. L'un des joueurs n'est autre que Chloé. Je me frappe le front tellement fort que je crois que c'est comme ça qu'elle m'a reconnu.

Chloé : Hey, Sofia !

Moi : Alors, je peux te demander ce que tu fais là ?

Chloé : On joue au strippe poker

Moi : Qu... Quoi ! Et tu le dis comme ça, le plus naturellement du monde

Chloé : Oh, c'est bon, j'ai le droit de m'amuser un peu ! En plus je gagne !

Moi : Ok, juste une question, tu as bus quoi et combiens de verres ?

Chloé : Des cocktails. Je n'ai pas compté combien par contre

Moi : Tu ne veux pas descendre ? On sera peut-être mieux en bas

Chloé : Certainement pas ! Je gagne je t'ai dis ! Regarde !

En effet, elle me montre ses pieds et il ne lui manque que ses chaussures et une chaussette. Les autres par contre. Ils leurs manques tous plus que des chaussures ou des chaussettes. Ceux qui sont le plus près de perdre sont une fille pied nue et dont le t-shirt manque et un gars qui n'a plus qu'un boxer.

Chloé : Reste, tu verras, je me débrouille bien !

Moi : Non, c'est bon. Je te fais confiance.

Bon, c'est bon, je les ai toutes trouvé. Ça ne servirait a rien d'essayer de la sortir de là, Chloé est aussi borné que moi, voir plus. Mais, il est hors de question que je reste ici. Alors que me bataillais pour faire marche arrière quelqu'un me pousse contre le mur. Je sais pas pourquoi mais pour une raison l'envie de vomir est monté d'un coup. Vite, j'attrape le vase qui été posé sur un tabouret. Un magnifique vase bleu, surement en porcelaine, les détails sont très jolis, dommage, je vais le ruiner. Ah, je me sans mieux maintenant.

Je descend et retourne encore et toujours au bar. Encore une fois, je décide de prendre un verre et d'essayer de me détendre mais encore une fois quelqu'un surgie de derrière.

Moi : Arg, mais vous pouvez pas me laisser boire en paix !

Elena : Et bien ! T'es de mauvais poil on dirait !

Moi : Ah, c'est toi. Non, mais, je sais pas pourquoi mais aujourd'hui, non, toute cette semaine enfaite, tous le monde a décidé de me prendre par derrière et me faire peur ! J'en ai marre...

Pas le temps de finir, une autre personne viens encore me sauter sur le dos. Pourquoi moi, sérieux, pourquoi !? J'entends la voix de Marie qui me crie "Surprise !" avant de me pousser ce qui me fais tomber. Alors que je pensé me retrouver au sol, je ferme les yeux et essaie de me protéger avec mes mains mais je ne touche pas le sol. D'ailleurs mes pieds non plus ne touche plus les dalles de marbre et je sens que quelqu'un me porte. En ouvrant mes yeux, je suis nez à nez avec Adrien et entouré de ses bras. Ok, c'est passé de 0 à 100 en quelques secondes, je n'étais pas prête pour ça ! En me reposant, il me souffle de faire attention mais je ne fais pas trop attention à ses paroles. Premièrement parce que je trébuche dès qu'il me lâche et dû encore me rattraper, ma mal adresse est légendaire a ce point, et deuxièmement ses yeux me captive et le temps que je pris pour les observé empêcha, apparemment, que j'entende quoi que ce sois. Ses yeux sont d'un beau vert. Je me rappelle avoir lu dans un livre que après une recherche, il était démontré que les yeux de garou étaient souvent bleu ou marron, qu'il n'était pas rare qu'ils souvent de différentes couleurs mais rarement vert. Je sais pas pourquoi je regardais ses yeux, peut-être parce que j'avais pas trop le choix étant donné que c'était le premier truc que j'ai vus en ouvrant les miens. Oula, reprend toi vite ! Je me retourne et rougis en marmonnant un merci, la main sur la bouche,.. Je n'ai pas l'habitude de regarder les gens dans les yeux, surtout si ils me regardent. Regarder quelqu'un dans les yeux est considéré comme impoli, j'ai pas trop compris pourquoi mais on l'apprend dès le plus jeune âge. Cette valeur fût d'autant plus souligner lorsque j'ai commencé à m'approcher de cette hiérarchie qui ne pardonne pas. Un seul regard peut déclancher de guerre mais malgré cela, je marche souvent la tête haute. Pas comme si j'allais défier quelqu'un mais plutôt comme un enfant qui n'a rien compris aux consignes malgré le fait qu'elles lui ont été répété des centaines de fois. Un enfant peut-être mais avec une visière car je ne croise jamais les yeux de qui que ce soit. Je regarde les vêtements, je contemple les cheveux, étudit la forme du visage mais jamais les yeux.

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