𝐋𝐚 𝐅𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐀𝐢𝐥𝐞́𝐞 {𝙀𝙧𝙚𝙣 𝙭 𝙍𝙚𝙖𝙙𝙚𝙧} (EN PAUSE)

𝑹𝒐𝒔𝒕𝒊𝒈𝒆 𝑺𝒑𝒓𝒊𝒕𝒛𝒆 {2}

(réécrit)

Ton nom- (T/n)
Ton prénom- (T/p)
Ton âge- (T/a)
Ta taille- (S/M/L/Xl)
T'es cheveux- (C/p)
T'es yeux- (C/y)
Ta peau- (C/PU)

Pour une expérience optimal, lisez ce livre dans un endroit clame et confortable. Je ne suis pas le créateur de Shingeki no kyojin. Merci d'être indulgent si je venait à me tromper ou encore avec mon orthographe. Je vous souhaite une bonne lecture.

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..Maj...M...Majesté ? Voulez vous vraiment garder...Vous m'entendez majesté ?

Majesté ?

...

Frieda ?

A travers un sursaut restreint, vous vous réveiller. votre lit n'était pas le même que d'habitude, c'était une table de dure. Vu sa température glaciale, c'était probablement un métaux tel que de l'acier ou du métal. votre vue était floue pour ne pas dire totalement détaché. Vous avez mal partout. Et les courbatures sont nombreuses. Des voix lointaine bourdonne et vous assomme d'un mal de crâne abjecte. tout était trouble et avait l'air tellement loin de vous. une vive douleur c'était emparée de votre crâne, se rependant dans tout votre corps. Comme si la sensation de s'être pris un coup à la tête ne faisait que se faire sentir maintenant. il faisait froid dans cet pièce. sombre, et froid. Vous sentez vos membres engourdis et restreint de tout mouvement même après plusieurs minutes de cauchemars aveugle. Sensation terrible qui avait l'air d'être provoqué par ce sommeil damné et agité. Ou peut-être autre chose ? Plus vous pensez, plus votre cerveau est lourd. Vos paupières sont sceller comme le sont du paradis aux perfides pêcheurs. Le son d'une petite chariot grinçante roulante se fit entendre. atteignant bientôt vos côtés. Diverses sons clinquant et finement métalliques raisonne. Vous étiez dans une pièce entourer d'adultes. Vous distinguer les grandes silhouettes. toutes testant diverse instruments médicaux qui avaient l'air d'être des objets de tortures. Cet endroit inspirait une atmosphère angoissante constante. Vous tentée de déglutir bien que vôtre gorge soit sèche

Comment cela est-ce arrivé...? Comment vous vous êtes retrouver dans un endroit pareille...?

La sensation déconcertante d'une piqûre aiguë se fait ressentir de nouveau. Et puis le sommeil reprend son cours. Vôtre esprit devenant moue et cessa bientôt de poser autant de questions. Il était temps de dormir

Puis vous vous réveiller une deuxième fois. Cette fois, vôtre corps était réveillé correctement. La fatigue était présente mais pas aussi maladive que la première fois. C'était comme si vous aviez courut pendant des heures. Vous ne reconnaissait pas le moins du monde l'endroit dans le quelle vous vous trouvez. Mais un bruit étranger attise votre curiosité..vous avez pousser un râle mécontent. votre corps était étalé mollement en long contre le sol de terre. Quelques goutes de pluie glacé tombant sur votre visage. Vous avez finalement ouvert les yeux cet fois. Vous tomber sur un ciel gris et nuageux, il faisait toujours froid. Le vent fait lever les frissons partout vôtre corps des cheville jusqu'à la nuque. il pleuvait. Vous vous asseyez difficilement. Bientôt, l'adrénaline monte avec la panique. S'en suis la peur. où êtes vous ? Il y a quelqu'un ? Êtes vous en danger ?  Tellement de questions émerge de votre subconscient qui reprenait ses instincts de survie avec l'absence de Morphée. Vous vous êtes élevé sur vos deux jambes n'arrivant toujours pas à comprendre ce que vous faite ici au milieu de nul part. L'oiseau que vous avez recueilli l'autre jour se tenait là sur une branche dans le pin à vôtre droite. rassurer de trouver de la compagnie vivante auprès de vous, vous avez tendu vos bras hésitant vers le volatile qui est venu se blottir contre vous en un battement d'aile planant. Les plumes de votre ami vous offrent tout de suite de la chaleur. Vos muscles vous donnent l'impression d'être atrophié. Mais la crainte ne se dissipe pas pour le moins. Il est hors de question que vous restez ici. Vous avez donc commencer à marcher dans la forêt qui devenait de plus en plus humide. Marchant à travers les arbres et les fourrés. C'était si silencieux. Habituellement, le silence est rassurant, calmant. mais pas là cela semblait être un mauvais rêve, ou jamais vous ne rencontrez personne. Heureusement que le corbeau est ici ! Vôtre tête vous fait souffrir, comme si elle essayait de se souvenir de quelque chose en vain. Vous avez marcher de plus en plus vite ne vous sentent pas à l'abri ici. Vôtre esprit était en alerte. Et l'oiseau dans vos bras s'agite tout bas ne vous rassurant pas plus que ça. Puis finalement, vous courrez, jurant que quelque chose vous suit, vous court après. Vous n'avez pas le courage de regarder au cas où cela se trouverait juste derrière vôtre épaule. Même l'oiseau dans vos bras s'envole apeuré, vous faisant paniquer d'autant plus. Des flashe vous viennent et vous brouille la vue dans le risque d'une chute. Médecins, métal, douleur. Mais rien de plus. Vous ne voyez plus où vous allez à ce stade, vous courez encore et encore jusqu'à finalement vous cogner dans un obstacle pour avoir osé regarder derrière vous. Sur le coup, vous tomber fesse dans la boue dans un petit cris de surprise. Mais du genre vif dans les moments terrifiants. vous vous lever prête à fuir en cas de danger. vous lever les yeux sur ce que vous veniez de percuter, et heureusement il s'agit d'un homme. Un simple humain de dos. Du moins vous suggérer. L'homme se retourna, il portait d'une veste noir qui tombait jusqu'à ses genoux ne lui donnant pas le genre d'allure confiante qui nous pousse à saluer après une course aussi éprouvante. vous reculer d'un pas. Vous êtes un enfant, fatiguée et sans défense, devant un adulte mal veillant, vous ne pouvez pas vous défendre. Les yeux de l'inconnu vous on foudroyer sur place. Il rangea quelque chose dans sa poche sans rien dire. Un livre ? Vous n'avez pas le temps d'identifier l'objet. Ses iris étaient d'un bleu profond et aussi claire que le ciel. Il vous fit fasse pour de bon, son airs calme et surpris ne vous rassure pas du tout. Il parla d'une voix douce en se m'étant à votre hauteur