Chapitre 25

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Il est tellement prêt de moi à ce moment là. 

-Klaus ! Non ... 

Je le repousse et me décale. 

-Tu ne peux pas faire ça. 

-Et bien si ça peux t'empêcher de te tuer. 

-Tu es vraiment sérieux ? Je t'en veux encore, je te hais même ! Tu te souviens de ce que tu m'as fait, la façon dont tu m'as chassé, je te suis reconnaissante de me laisser revenir et d'avoir fait en sorte que je sois encore en vie mais je t'en veux encore et je crois pas que le moment sois approprié pour... 

-Pour quoi au juste ? dit-il un sourire en coin. 

Je suis soudainement confuse. 

-Tu n'allais pas ... je veux dire t'avais pas l'intention de ? 

Il lache un petit rire et se rapproche de moi à nouveau. Il me saisis les poignets et rapidement il me menottes. 

-Qu... Quoi ?! dis-je surprise. 

-Ca semble être le seul moyen de t'empêcher de te suicider jusqu'à ce qu'on s'occupe de Tristan pourquoi tu pensais à quoi d'autre au juste. 

-Euh et bien...Tous sauf à ça ?! Et puis d'abord a quel moment tu as récupérer ces menottes ? 

-Un roi ne révèle jamais ces secret au petit peuple. 

-Je ne suis pas... 

Il mets un doigt devant mes levres. 

-Chut 

Il me tire jusqu'a son lit et m'accroche à l'un des quatres bareaux du lit. 

-Non Klaus libere moi maintenant ! 

Je commence à tirer. 

-C'est fait pour resister à un Loup Garou alors n'espere pas t'en défaire si facilement. 

Je regarde mon poignet qui laisse apparaitre la rougeur de la veine apres ma tentative avec la lame de rasoir. Si je frotte sufisament contre le fer de la menotte, la veine va se rompre et je me viderais de mon sang.  Mais pas devant Klaus. 

-J'ai entendu Hope pleuré, tu devrais aller voir. 

Il hoche la tête et sors de la chambre, je profite qu'ils soient parti pour tirer sur les menottes. Ca fait un mal de chien, mais je dois le faire. Je continu de frotter mes poignet contre les menottes et a tirer. Je me levee du lit et tire de toute mes forces. Le sang commence à couler de mes poignets ça fonctionnes. Je m'assois aux sols et j'attends, sa brule et sa pique, je lache un gemissement de douleur etouffé. La porte s'ouvre sur Cami, elle me voit et elle se precipite vers moi immediatement. 

-Jenny ! 

Elle se met a genous et enleve mes menottes, elle sors un mouchoir de sa poche et appui fortement sur mes plaies pour faire pression. 

-J'ai besoin d'aide ! hurle Cami 

-Cami laisse moi. 

-Tu es folle pourquoi je ferais une chose pareille. 

-Je sais que c'est toi Cami... 

-Qu'est ce que tu racontes ? 

-La marque sur les pieu je l'ai reconnu, tu m'as accusé aupres de Klaus alors que tu savais que je n'avais rien fait il est evident que c'est toi la cause de ces meurtres à La Nouvelle Orléan. Le symbole je l'ai vu sur une des armes de ton inventaire. J'ai tout fait pour dissimuler tes traces, pour pas que tu sois en danger. Tu me dois une faveur Cami, mets fin à ma vie comme tu sais si bien le faire. 

Une Humaine chez les OriginelsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant